[EVOLUTION PP]Organisation interne

Bsoir,

je vous aime bien …souvent vous me faite marrer, mais bon serai t’il possible que ça reste zen ? :kissing_heart:

en PACA on a tapé dans le coffre pour permettre à notre coordinatrice de monter à Lyon ça n’impliquait que la section;
si il faut monter un “projet” pour obtenir les finances pour un truc aussi petit ça me parait trop lourds;
à mon avis faut laisser une petite marge de manœuvre aux sections OU au fur à mesure créer une sorte de grille pour les petits besoins qu’on soumet directement au trésorier.

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Si on peut juste arrête de parler de Pantin comme du lieu d’une nouvelle sous-section ou section c’est bien, parce qu’à ma connaissance, il y a autant d’adhérents à Pantin qu’à Aubervilliers ou Bobigny, ou que dans certains arrondissements de Paris (je suis sure qu’à moi toute seule je suis plus que dans certains arrondissement parisiens où on a personne). Si je cite Pantin dans nos échanges sur le sujet, c’est juste pour faire valoir le fait que le découpage géographique régional ne convient pas DU TOUT puisque la section est trop grande et surtout qu’elle englobe des lieux qui n’ont rien à voir les uns avec les autres. Comme je l’ai déjà dit, le 93 pourrait faire partie de la section PACA ça aurait autant de sens, d’un point de vu politique, et finalement, d’un point de vue géographique, faire 2 heures de trajet pour traverser l’Île-de-France pour aller à une réunion ou aider sur une action à l’autre bout de la région (genre aller de Villemomble à Massy, par exemple) ou 3h de trajet pour un Paris-Marseille, ça revient plus ou moins au même, niveau perte de temps et d’énergie (même si niveau budget on n’est clairement pas au même niveau).

Et jusqu’à preuve du contraire, les réunions de travail, on peut les faire via Internet, les actions, on peut les mutualiser, et ainsi permettre à un adhérent tout seul de profiter du travail d’un groupe pour agir autour de chez lui… Reste à la rigueur l’accueil physique des adhérents qui n’est de toute façon pas possible partout, et faire des rencontres juste pour boire des coups ça n’a vraiment aucun intérêt, en tous cas quand on est un parti politique. Si on décide d’organiser une réunion, publique ou non, on prévoit, on fait un budget et on demande aux pirates ce qu’ils en pensent, parce que c’est l’image du parti qu’on engage dans ces conditions, et à la fin on a un projet qui pourra être reproduit à l’envi un peu partout, quelle que soit notre situation géographique. Si on décide d’organiser un pot, on se cotise, ou on fait un budget, on soumet le truc à l’AG permanente, au pire personne ne participe au vote à part les principaux concernés et l’affaire est bouclée. Et on peut aussi décider de donner un budget de fonctionnement à une section, tout ça est possible, si on le décide, et s’il y a un budget. Centraliser les dépenses ça permet aussi d’éviter des dépenses à tort et à travers, que seuls quelques uns décident et qui ne sont pas forcément justifiées ou utiles pour le parti.

Franchement, sincèrement, je ne vois pas pour quelle raison exactement on devrait laisser une partie du budget pirate à la discrétion d’une SL, même si c’est dans la zone géographique de la SL que l’argent a été collecté, c’est injuste, et ça me semble s’apparenter davantage à une gestion obscure de l’argent pour des besoins personnels qu’à une nécessité politique quelconque. Et puis quel intérêt de capitaliser si on ne fait rien de l’argent récolté ? La trésorerie qui dort ça n’a aucun intérêt, ça doit aller à ceux qui en ont besoin.

Je connais des gens partout, j’ai des amis sur toute la planète, si je leur dit qu’ils doivent adhérer ou donner à Pantin et pas là où ils vivent pour que ça nous donne de l’argent, ce n’est pas très très solidaire avec les autres, et ce n’est pas vraiment juste pour eux, vu qu’ils ne vivent pas à Pantin.

Il me semble qu’on est pour l’abolition des frontières, et là j’ai l’impression qu’on va dans le sens inverse.

Je reste favorable à la suppression de l’échelon régional comme nécessité de découpage de section, et je vous invite à relire nos statuts qui précisent que pour monter une section locale, il faut OBLIGATOIREMENT prendre l’échelon régional en référence, soit, avec les nouvelles régions, des sections toujours plus larges géographiquement mais qui n’ont plus vraiment de sens politique.

Si on souhaite conserver un découpage géographique, je n’y vois aucun inconvénient, mais il doit se faire sur des échelles plus petites, à taille humaine, et les sections ainsi découpées ne devraient pas bénéficier d’une indépendance. On écrit des statuts pour tout le monde, y’a pas de différenciation de traitement possible selon le lieu où l’on habite sinon on n’en finit plus et ça ne sert à rien de réécrire nos statuts. A ce rythme là autant que chaque section déclare son indépendance, et on laisse à leur sort les adhérents isolés, comme c’est déjà le cas aujourd’hui de toute façon. Moi ce n’est pas comme ça que je réfléchis. J’ai vécu dans la rase campagne (à La Souterraine pendant 5 ans notamment, maintenant tout le monde connait, merci Macron), je sais ce que c’est que d’être isolé, et en tant que pirates, connectés, on ne devrait même pas avoir ce genre de cas se présenter.

PAR EXEMPLE, POUR ILLUSTRER MON PROPOS ET POUR CHANGER DE PANTIN QUI N’A RIEN DEMANDÉ : regrouper des personnes sur Rennes, ça a du sens, mais la section Rennes ne devrait pas prendre ses décisions pour TOUTE la Bretagne, parce que la Bretagne c’est grand, c’est même très grand, quand on y pense, et je suis sure qu’on peut y trouver quelques adhérents isolés qui n’auront jamais les moyens, le temps ou même l’occasion d’aller à Rennes. Pour autant, ces adhérents isolés peuvent être plein de bonnes idées, et je ne comprendrai pas que, sous prétexte qu’ils ne vivent pas à Rennes, on ne leur permettent pas, à eux aussi, de monter des projets.

Je suis également favorable à ce que les budgets soient déterminés par nous tous, en AG permanente, en fonction des besoins et non des ressources à disposition, parce qu’on peut être nombreux et riches et avoir des idées de merde (ou pas du tout d’idées) comme on peut être peu et pauvres et avoir plein de bonnes idées (et là je ne vise personne en particulier, merci de NE PAS prendre mes propos pour des accusations).

Il s’agit là d’une toute bête question d’équité entre nous tous.

(Tout ça me fait penser à notre bon vieux ministre Collomb qui nous a sorti que c’était pas compliqué de faire 180 bornes pour aller bosser, que lui faisait bien Lyon-Paris tous les jours, alors ces creusois n’ont pas de raison de se plaindre, aller travailler à Ussel ne devrait pas être très difficile…).

Votre coordinatrice (qui occupe un mandat qui n’existera plus dans nos nouveaux statuts, à priori) est montée pour assister à une réunion organisée par le national. A ce niveau là, la décision sera prise par les pirates dans leur globalité pour savoir qui va à une réunion d’envergure nationale et qui se fait rembourser son trajet. Comme il n’y aura plus de coordinateur, il pourra y avoir des responsables de projet, ou des animateurs, mais les budgets et remboursements seront déterminés, en tous cas pour ce type de rencontres, en AG permanente, donc pas de problème en fait :wink:

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Comme tu m’as posé une question je vais m’abstraire de la règle un message par jour et y répondre.

En gros : oui. La section locale new look serait une section interne, donc, mais qui aurait un budget autonome et qui piloterait d’éventuels projets avec. Elle aurait aussi comme intérêt de pouvoir répondre aux gens qui toquent à la porte et qui cherchent une présence pirate parce qu’elle aurait pour vocation à maintenir une certaine activité militante irl (l’irl c’est l’unique intérêt du local, hein, sans ça effectivement on s’en tape, on fait tout sur internet).

Par contre la section n’a plus de pouvoir politique en tant que section au niveau national, ça on est bien d’accord. C’est ça la disparition de la CN. Le parti, en tant qu’instance nationale décide de ne plus fonctionner comme ça.

On est pas très loin d’être d’accord, hein, en fait là on cause détails. Comme Gna, j’ai longtemps apprécié de pouvoir militer au sein d’un groupe local, avec des moyens limités, certes, mais beaucoup plus de souplesse qu’un échelon national.

Je suis persuadé par ailleurs que si le nouveau système apporte significativement plus d’efficacité et de convivialité que l’actuel, rapidement l’échelon régional se fera absorber de lui même par le national. Mais même dans ce cas idéal, pour la transition, il est préférable que chaque section décide de façon indépendante de remettre ou pas son budget et son mode de fonctionnement de terrain aux mains du national.

Bonjour

existe il un CR der cette réunion si oui ou peut on le lire
merci
au revoir

La nuit est passée, j’ai donc droit à mon message de la journée. :wink:
Je vais parler spécifiquement de ma paroisse, l’ile de france. Notez que cette section comprenait au dernier pointage 28% des adhérents, ce qui justifie en partie des problématiques spécifiques.
Actuellement , on est pas encore remis de l’overdose des législatives et courir un nouveau scrutin n’est pas une perspective qui suscite de l’enthousiasme. Mais on est d’accord que, en gros, faudra s’y remettre.
Les prochains scrutins sont les européennes, les municipales, les régionales. Pour tous ceux là, la structure régionale de l’Ile de France est justifiée.
Les régionales : no comment
Les européennes : la circo européenne correspond à la région idf
Les municipales : là, c’est un peu plus touchy mais une grosse partie du débat se fera sur la mise en place du grand Paris : en gros, Paris et les trois départements de la petite couronne sont plus ou moins appelés à fusionner. Reste la grande couronne, bien sûr, mais Paris + petite couronne c’est un gros morceau. En gros, aucune campagne municipale dans ce périmètre qui représente les deux tiers de la population d’ile de france ne pourra faire abstraction de ce qui se passe dans la campagne municipale de la ville d’à côté. Et la structure d’Idf est tellement centralisée que fatalement la campagne parisienne aura un grand écho et une grosse influence sur les communes limitrophes. Bref , dans ce cadre les pirates franciliens auront tout intérêt à la jouer collectif.

Voilà , c’est un point de vue qui ne concerne qu’IDF mais que je voulais exposer pour vous dire que la structure régionale est quand même assez opérationnelle sur notre territoire.

Bonjour,
@npetitdemange et @Florie : le fait que des groupes locaux n’aient plus ni pouvoir politique ni autonomie financière, position que vous défendez, cela n’a pas reçu l’adhésion de la majorité des présents à Pantin. Il me semble bien qu’au contraire, beaucoup insistions sur l’importance d’un niveau local pour l’action. Il faut donc aller au-delà de ce débat si on souhaite une solution consensuelle. La formulation de @Thufir ma parait plus juste, les groupes locaux n’ont plus, à travers la CN, un rôle de décision politique au niveau national.

L’AG permanente et la vie de groupes locaux (qui peuvent gérer un budget demandé à l’année, qui peuvent engager le PP et des actions au niveau local) doivent pouvoir se superposer aisément.

@Florie : ton exemple sur Rennes/Bretagne est vraiment pourri et malveillant, c’est de la diffamation. Comme l’a préconisé @npetitdemange, arrêtons de s’insulter. Je propose que tout exemple de fonctionnement se passe désormais en Cocagne ou du côté d’Aldébaran.

@npetitdemange : il y a 2 autres pirates qui avaient proposé de coordonner avec toi le suivi de ce projet : c’est toujours d’actualité ?

À Pantin, nous avions évoqué 2 pistes de travail, que je ne retrouve plus ici:

  • l’invention de mode de décision et vote (temporalités, quorum, formalisme, parcours de la proposition, etc.) en fonction des types de décisions à prendre : il faut avancer là-dessus de façon précise, c’est là le cœur du projet.
  • l’articulation vote d’une action-engagement de moyens (notamment humains), l’un et l’autre devant être nécessaire. J’imaginais par exemple, en plus du vote oui/non, une “mise” personnelle en points et en compétence (1pt=1 h de taf, complèté en % de la compétence demandée).

Bien à vous,

PS : @npetitdemange, c’est jour de grève, je vais donc sans doute déroger moi aussi à la règle du un message par jour, pour une proposition qui suit, et d’éventuelles précisions qui me seraient demandées. Promis, pas d’innondation.

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En marge des discussions à Patin, il y a eu aussi des interrogations sur la méthode à adopter et sur des solutions. J’aimerais les noter ici, pour mémoire.

  • les statuts : il faudrait qu’ils soient très simples, l’idée de s’inspirer de ceux du MFRB a été proposée
  • Le RI devrait lui comporter ce sur quoi porte notre discussion : c’est plus compliqué, et il y a 2 risques:
    • le saut dans l’inconnu, sans réellement savoir si ce qu’on écrit sur une feuille vierge va marcher du premier coup
    • le risque de reproduire ce qui avait fait couler “démocratie liquide” (qui n’était pas forcément une mauvaise expérience non plus).

Peut-être devons-nous imaginer une année 2018 d’expérimentation, en suspendant les points de nos statuts que nous ne souhaitons plus, et peu à peu écrire nos processus. La Codec pourrait jouer cette année-là un rôle d’arbitre en cas de conflit, et un groupe d’observation le rôle de mettre par écrit les bonnes et les moins bonnes expériences.

Cela laisserait également du temps pour la mise à jour de nos outils.

Bien à vous.

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Euh non, je l’ai pourtant précisé, ce n’était pas malveillant, c’était histoire de ne plus parler de Pantin mais d’autre chose, et de donner un autre exemple. Ta réponse, par contre, est insultante. Question diffamation, tu vois, j’ai envie de dire, qui se sent morveux se mouche…

Quant à tes deux pistes de travail, effectivement, c’était celles que tu avais avancé, elles sont intéressantes mais pas suffisantes, et je ne me souviens pas que la majorité des présents étaient d’accord avec ça ou avec tout ce que tu as dit, la plupart n’avait pas encore d’avis, en revanche moi je me souviens bien que la réflexion sur la position financière devait se faire ici sur Discourse, et que nous avions conclu que nous n’étions pas encore prêts à débattre sur le sujet à Pantin, et je me souviens aussi que nous étions tous d’accord pour travailler tous ensemble sur tout ça, dans la bienveillance et le respect de tous, ce que je m’escrime à faire au mieux, même si visiblement tout ce que je dis est pris personnellement, malgré mes multiples précisions que non, ce ne sont pas des remises en causes de qui que ce soit si ce n’est du fonctionnement général du parti. Tu vois, chacun voit midi à sa porte. (Mais moi je n’ai pas parlé de diffamation quand on a pris l’exemple de Pantin, depuis le début de l’échange ici, je sais faire la part des choses…)

Personne n’a dit qu’on supprimait l’échelon local, ce qu’on propose, il me semble, c’est de faire en sorte que les sections locales ne prennent plus de décisions qui engagent le parti tout entier chacune dans leur coin, et ça implique aussi bien les questions financières que politiques. Qu’on donne un budget de fonctionnement à une section établie sur un critère géographique, c’est envisageable, c’est souhaitable et de toute façon ça parait indispensable, encore faut-il se mettre d’accord sur le critère géographique (pardon mais je persiste, Rennes ce n’est pas TOUTE la Bretagne, tout comme Paris n’est pas TOUTE l’Ile-de-France, encore une fois ce n’est pas de la diffamation, c’est la RÉALITÉ) et sur l’usage du budget en question (parce que si c’est juste pour boire des coups entre copains, je répète, ça n’a aucun intérêt pour le parti, si ce n’est de se trainer une réputation de merde), mais qu’on laisse des sections gérer intégralement et en petit comité les ressources qu’elles récupèrent d’une manière ou d’une autre grâce à l’image du parti, ça ça me parait complètement injuste, surtout pour les adhérents isolés. Je n’aime pas me répéter, mais si je le fais c’est parce que visiblement, même si je croyais avoir été claire, je ne l’ai pas été suffisamment dans ma précédente réponse.

Par ailleurs, j’entends bien l’argument des élections, mais on peut aussi décider qu’une team soit créée pour les élections au niveau national, quelle que soit l’élection et son échelon, et qu’on mutualise les travaux pour que TOUS les pirates puissent en profiter, quelque soit leur lieu de résidence ou de candidature, quitte à laisser ceux qui le souhaitent faire leur truc dans leur coin, mais faire chacun son truc dans son coin ça ne fonctionne pas, les partis qui ont réussi aux législatives sont ceux qui ont fait une campagne nationale cohérente, c’est pareil aux autres élections, faut pas se leurrer, c’est comme ça que ça fonctionne, si un pirate dit blanc quelque part et un autre dit noir ailleurs, avec Internet ça se sait très vite, tout se sait très vite, si nous n’en avons pas encore fait les frais, je l’ai déjà vécu auparavant, et croyez moi, personne ne veut d’un bad buzz de ce genre, agir ainsi n’est pas cohérent et l’incohérence fait fuir l’électeur, c’est tout ce qu’il y a à savoir. Là encore je ne vois pas en quoi l’échelon géographique, qui plus est régional, est important pour mener un projet “élection”, sincèrement, je ne vois pas. Tout ce que je constate ce sont les faits, et les faits sont là. Prenez l’exemple du parti animaliste aux législatives alias “le parti qu’on n’attendait VRAIMENT PAS” : une campagne nationale cohérente malgré le peu de moyens et de candidats = financement public à la clé. Même les régionalistes l’ont compris et ont fait ça bien. On parle des législatives, mais c’est pareil à toutes les élections, c’est un fait, et si j’ai retenu au moins un truc de mon expérience là-dedans c’est que c’est un fait indéniable, la cohérence nationale (voire mondiale) est l’amie du succès électoral, revenez dessus autant que vous le voudrez ça ne changera rien à la réalité…

Si vous me dites “on l’a déjà fait et ça ne marche pas” je vais vous répondrai que oui, peut-être, mais tant que c’est fait à l’arrache, ça ne marchera pas, et si nos statuts permettent d’assouplir un peu tout ça par le biais d’une AG permanente, donc si on met en place d’autres conditions de travail entre nous, il est possible que ça fonctionne…

Mh. Je ne demande qu’à te croire. Mais permets moi d’en douter un peu quand même…

Quant à la souplesse de l’échelon local, on en reparlera quand Paris comptera autant d’adhérents que tout le parti aujourd’hui… Et peut-être que ça arrivera plus vite qu’on ne le croit… :wink:

Donc encore une fois, merci de se détendre un peu, de ne pas prendre tout pour soi, au pied de la lettre ou pour une attaque personnelle, je ne fais que prendre des exemples pour illustrer mes propos, et je n’ai pas envie de me faire agresser à chaque fois que j’écris quelque chose qui ne vous convient pas, surtout que ça risque d’arriver quelques fois vu qu’on est visiblement pas vraiment d’accord sur tout (on l’est au moins sur des grands principes, celui de la suppression de la représentativité injuste, et de la mise en place d’une AG permanente, par exemple). Et pardonne moi Yves, mais c’est un fait, je me sens agressée par toi là, donc pour moi tu es agressif et tu ne respectes pas les règles du débat.

De la diffamation… MAIS LOL ! J’aurais tout lu décidément ! :smiley:

Moi je ne suis pas venue ici pour souffrir, OKAY !!! :wink:
(Et même si j’ai l’impression de répéter ce que j’ai déjà dit, ce sera mon seul message du jour, je respecte la règle :smiley: )

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Je vais me permettre de te répondre @yv_pic, mais cela correspond à la réponse à plusieurs personnes hein :slight_smile:

Noter en préalable :

  1. Si vous pensez que je ne suis pas la bonne personne pour mener le débat, je suis tout à fait disposé à passer la main (j’ai peut-être mal compris hein, mais je préfère préciser tout de suite).
  2. Je précise aussi que si je participe au débat, je le fais peu, je tente pour ma part d’extraire différentes propositions pour permettre aux pirates d’avoir des propositions forte et documentée (et ne pas refaire les erreurs de 2012 en gros).

Bon, reprenons :

Alors je vais avoir besoin de précision, mais aussi celle de @Thufir sur le sujet.
Je ne pense pas que @Florie (et moi, je suis globalement sur la même ligne je le reconnais) sommes pour la disparition d’un niveau local pour l’action. Je dirais même qu’au contraire, l’idée c’est de rapprocher l’action au plus près de la réalité.

Pour ma part, vos positions m’inquiètent sur un point, que j’ai exprimé a Pantin : De revoir l’opposition, factice, mais toujours utilisée, du “national” contre le “local”. Et franchement, je la devine de nouveau dans vos propos :frowning:

J’aimerais mettre aussi un point en avant, c’est le fait que de ne pas avoir des sections locales partout est un gros problème aujourd’hui, tant dans la communication avec les nouveaux pirates (pas de section chez toi, dommage, au revoir !), mais aussi de fonctionnement (il se passe un truc dans le grand est, on ne peut pas s’exprimer, on n’a pas de section locale).

Maintenant, puisque l’on “cristallise” sur le local, je vais tenter de définir rapidement chaque proposition. C’est une tentative, elle méritera correction de votre part à tous.

Proposition 1 :

  • Plus de différence de gestion entre section locale et section interne
  • la création d’une section locale est libre, la seule règle est la non-superposition géographique
    – Note : Pour moi c’est le point un peu flou de la proposition, qui demande précision
  • La gestion du budget change, c’est l’ensemble des pirates qui attribue chaque année un budget comme les autres sections interne, à la demande de la section (exemple : la section IDF à besoin de 1500 € pour l’année 2018 pour tel type d’action).
    – Note :Merci de noter que l’on ne demande pas aux pirates de s’exprimer pour chaque dépense d’IDF
  • La question de la prise de position politique au nom du PP : Aucune
    – Note : la encore, il me faudra confirmation ET explication, je pense

Proposition 2 :

  • On garde la logique de la section locale et de la section interne
  • La création d’une section locale est assouplie
    – Note : il me faudrait plus d’explication sur les assouplissements possible dans la définition géographique
  • La gestion du budget change (pour @yv_pic, soumis à l’AG permanente) ou pas (pour @Thufir, on garde le fonctionnement actuel)
    – Note : le système de demande de budget proposé en proposition 1 semble être approuvé pour les sections internes, je ne reviens pas dessus, j’ai bon ?
    – Note : @Thufir et @yv_pic, j’ai pris vos pseudos car vous proposer ses “versions” hein

Je n’ai pas été contacté, je vais relancer :slight_smile:

Alors oui, tout simplement, car je pense qu’il va falloir plusieurs posts et que je n’ai pas eu le temps d’en lancer un deuxième sur l’AG permanente par exemple :slight_smile:

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Pour ma part, je m’inscris plutôt dans cette proposition vous l’aurez compris.

Plus de différence entre section locale et section interne

Il faut rentrer dans une logique de groupes de travail qui peuvent avoir une multitude d’objet : programme, communication, alliance, local… Dans la pratique, chaque section devrait, au moment de sa création, se doter d’un document (une charte, un règlement) qui définirait son champ d’action. Cela permettrait d’éviter les doublons et les éventuels chevauchement (ce qui répond partiellement à la question suivante).

la création d’une section locale est libre, la seule règle est la non-superposition géographique

Oui et non. Mieux vaut éviter la superposition des champs de compétences que la superposition géographique.
Par exemple, un groupe de travail est créé sur Lille avec pour mission l’animation, l’accueil et la réalisation d’événements politique sur la ville. Il est tout à fait possible d’imaginer un groupe Haut-de-France qui aurait les mêmes missions mais sur un champ de compétence différent : celui de la région. Les problématiques ne sont pas les mêmes.
Cela permettrait, à mon avis, d’assurer une meilleure couverture des territoires. Si certaines zones ne seront pas couvertes, il ne faut pas se priver non plus d’avoir plusieurs groupes sur une même zone tant que leurs champs de compétence ne sont incompatibles.

La gestion du budget change, c’est l’ensemble des pirates qui attribue chaque année un budget comme les autres sections interne, à la demande de la section

Les groupes devront déposer annuellement devant l’assemblée générale une demande de budget.
Non, il ne s’agit pas de faire voter chaque projet de la section individuellement, comme j’ai pu le lire. L’objectif est avant tout de permettre d’avoir une vision globale, de la transparence et éviter la thésaurisation inutile.

Concrètement, les groupes pourront présenter un plan annuel avec les grandes actions qu’ils souhaitent mener, leurs frais de fonctionnement et éventuellement demander une réserve pour parer à des dépenses imprévues (dans la limite du raisonnable). Finalement, cela reviendrait à présenter d’une année sur l’autre un budget prévisionnel basé sur les dépenses à n-1. Après, libre au groupe de dépenser son enveloppe comme elle l’entend MAIS elle devra garder à l’esprit qu’elle devra rendre des comptes à l’assemblée générale à la fin de l’année.

Que ferait-on en cas de dépassement de budget à cause d’un événement imprévu ? La meilleure solution serait de faire voter un budget spécifique pour le projet qui n’était pas prévu initialement.

La question de la prise de position politique au nom du PP : Aucune
Je pense que le statut actuel qui nécessite un consensus entre 3 pirates minimum devrait être maintenu. Évidemment, cela se limiterait à la prise d’une décision politique dans le cadre du champ de compétences du groupe du travail.


De manière plus générale, le modèle que nous sommes plusieurs à proposer répond à plusieurs objectifs :

  • Assouplir notre mode de fonctionnement pour couvrir un maximum de champs de compétences (territoriale, thématique, relationnel)
  • Permettre aux pirates d’avoir une vision transparente de l’action globale de nos actions
  • Éviter l’accumulation d’actifs qui pourraient être utiles ailleurs

Sur la question de la dévolution des actifs répartis dans les sections, il est nécessaire pour assurer le bon fonctionnement de ce nouveau modèle (s’il est choisi par les pirates) de remettre notre système budgétaire à plat.
L’argument du fléchage des dons vers les sections est, juridiquement, non pertinent dans le sens où tous les dons sont faits à l’AFPP qui reverse les deniers au PP. L’attribution aux sections n’est qu’une fiction comptable.
Vouloir conserver la trésorerie accumulée et non utilisée est égoïste et pénalise le parti.

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Voilà mon (long) post du jour. Je vais répondre à Nicolas sur les questions d’organisation du débat et à Florie et Aurifex (mais aussi nicolas) plsu sur le fond.

1) sur l’organisation du débat

Tu es sans doute la personne la mieux placée pour organiser le débat. Le fait que tu aies une position clairement énoncée est un gage de lisibilité. Je pense que ce point n’est contesté par personne.

Point important : je ne suis pas opposé du tout à la mise en place de votre système… là où il est bénéfique, c’est à dire là où les sections locales sont inexistantes et/ou leur fonctionnement est insatisfaisant et/ou les adhérents desdites sections locales souhaitent le mettre en place.

Donc on serait plutôt sur un choix du type

Proposition 1 : les sections locales disparaissent pour être éventuellement par la suite remplacées par les sections internes

Proposition 2 : Proposition 1 + celles des sections locales qui le souhaitent peuvent voter leur survie. Dans ce cas, elles conservent leurs statuts, leur fonctionnement et leur trésor de guerre.

Le principe c’est de ne pas être dogmatique et d’accepter une certaine modularité dans notre fonctionnement. Et ce n’est pas du tout incompatible avec le fonctionnement que vous imaginez.

Prenons un exemple : des parisiens se montent en section interne et ont un projet qui coûtent 1000€ et qui a des chances d’avoir un retentissement un peu national (on y croit :innocent: ). Ils peuvent aller taper au national pour 500 et dans la section pour 500. C’est le genre de fonctionnement qui est très courant dasn le financement des projets.

Sur le fond

a) sur l’opposition national / local

Cette opposition n’est pas factice. Elle est normale dans toute structure nationale qui a des implications de terrain. Et ce n’est pas un problème en soi, ça peut être géré de façon tout à fait saine. La question est de savoir qu’il y a un curseur à placer entre le local et le national et de savoir où on le place.

Tous les partis politiques ont des instances nationales et tous ont des instances locales. Les logiques ne sont pas toujours les mêmes. Et il n’y en a pas les unes qui ont par nature raison et les autres par nature tort.

Quand je voulais qu’on réfléchisse à une liste de formation avec lesquelles on refuse de s’allier, c’est à ça que je pensais. Délimiter le périmètre de liberté des pirates, notamment pour des actions locales. Mais ensuite, dans ce périmètre, laisser faire sans que tout ait à passer par une validation nationale. Parce que, clairement, on a besoin d’une forme de variété dans nos engagements.

Mais cette variété doit avoir ses limites. On se souvient du pirate élu sur une liste UDI et qui a fini par rejoindre Dupont Aignan. Là, clairement, on était en dehors de ce qui est souhaitable. Sauf que ça n’avait pas été formalisé.

Cette réflexion dépasse la question seule des sections locales mais effectivement je m’alarme de constater que vous voulez mettre en place un système certes démocratique mais beaucoup trop centralisé et, partant, beaucoup trop uniformisant.

Idée : la question des nouveaux statuts me semble trop vaste pour être utilement traitée sur un fil. Peut on créer une sous section “refonte des statuts” dans laquelle Nicolas, et lui seul, pourrait lancer des fils de discussion

b)Sur l’efficacité des sections locales

Comme dit lors de l’AG idf, je n’estime pas que la section IDF a rempli ses objectifs, très loin de là, en 2017. Mais elle a été capable de gérer près de 60% des candidats pirates alors qu’elle compte 28% des adhérents, le tout avec la quasi parité et de lever 24 k€. Elle n’aurait rien fait sans le soutien du national, bien sûr, mais clairement en tant que structure elle s’est avérée relativement efficace et moteur.

Après je ne sais pas comment les autres sections ont vécu l’épisode. Mais du fait de ce bilan et du fait des spécificités géographiques de la section (superficie réduite, forte densité de population + découpage électoral cohérent avec les limites de la région), je pense que l’échelon régional est, en idf, assez cohérent.

Le budget, effectivement, il doit pas servir ( et à ma connaissance il n’a jamais servi) à boire des coups. Mais non, boire des coups n’est pas sans intérêt. Se voir, se connaître, échanger IRL est important. La convivialité est importante. Et c’est une mission centrale des sections locales.

C’est un des thèmes sur lequel Le comité invisible (par exemple dans le bouquin “à nos amis”) est le plus convaincant. Les luttes sont affaire de rencontres, d’affinité interpersonnelles. C’est fondamental, c’est ça qui donne de la puissance à un groupe quand on a ni le nombre, ni le temps ni l’argent.

Cette convivialité peut aussi se retrouver sur la toile, sur des outils comme discourse ou autres. Mais c’est pas incompatible avec les rencontres IRL qui doivent rester un élément fondamental du militantisme. Sans cela, déjà, il y a tout un paquet de gens qu’on ne touchera pas.

C’est pour ça que la quadrature fait des quadrapéro. Si ensuite ça défrise des gens qui nous font une mauvaise réputation, j’ai envie de dire : tant pis pour eux. A priori ils n’étaient pas dans notre cible.

c) sur le budget

Honnêtement, je trouve que c’est super moyen. On va se retrouver avec des sections qui auront un budget à dépenser et il leur “suffira” d’aller au national le demander pour l’obtenir. Je ne suis pas sûr que ça soit une gestion super vertueuse, en tous cas pour du local.
Pour un mode projet, oui, mais pour une action pérenne , je pense qu’il faut que les acteurs soient davantage responsabilisés.

Je ne peux pas laisser passer ça. Parler d’égoïsme, c’est clairement se situer hors du champs de la bienveillance qui est réclamée sur ce fil. Ce n’est pas pour le plaisir de m’asseoir sur un tas d’or par ailleurs très relatif que je demande à ce que les sections ne soient pas dépossédées de leurs réserves.

Que les dons soient faits à l’AFPP, je n’en disconviens pas. Ca rend la dépossession des sections locale par le national parfaitement légale. Ca n’en fait pas pour autant une opération souhaitable et éthique. L’argent qui a été récolté par les sections l’a été du fait de leur activité, de leurs efforts et les donateurs ont fait leurs choix en connaissance de cause. Si les pirates d’IDF souhaitent remettre leurs réserves de cash au national, c’est leur choix. En tout état de cause je ne comprendrais pas que des pirates d’autres régions décident pour eux.

Il me semble que vous pensez que les donateurs qui donnent pour les régions donneront de la même façon pour le national. Je peux me tromper mais je crois que vous allez aux devants d’une déception.

Et comme Gna, je pense que garder un peu de cash à dispo sur le terrain sans avoir à toujours remonter au national, même si les procédures sont démocratiques, ça sera garant de flexibilité et d’efficacité.

Conclusion

A part si je suis interrogé, je pense avoir à peu près dit ce que j’avais à dire sur le sujet local / national et je m’abstiendrai de poster à nouveau sur ce fil tatn qu’on causera de ça (pour la formulation des propositions, on a encore du temps, autant décanter un peu). Je lirai avec Je serai très client de discuter AG Permanente :wink:

Bjour,

à ce sujet il y a truc qu’il faut bien éclaircir

Je suis d’accord su le fond MAIS un exemple comment faire pour un tract ?
Parce que dans l’absolu ça engage le parti, Je prend cet exemple parce que ça m’est arrivé de demander de proposer et d’attendre encore les réponses…
Actuellement (en PACA) on a commencé à bosser sur un tract générique, comment ça ce passe ?
qui va donner le feu vert pour qu’on passe à l’impression une fois qu’on aura partagé le texte ?

Bonsoir,
ce serai moi aussi mon dernier post sur ce fil. Je laisse les clés, s’il y a besoin à @Thufir qui exprime des positions proches des miennes.

Alors je vais encore vous embêter un peu @yv_pic et @Thufir, de même que @Aurifex ou @Florie :wink:

En effet, vous n’êtes pas sans savoir que pour le moment, l’opposition (qui n’existe pas dans nos statuts actuels) entre le national et le local a fait souffrir des pirates (et j’en fais partie).

Si la disparition de la coordination nationale est une partie de la solution, cela reportera les critiques vers le bureau (aussi petit qu’il soit).

En réalité, il faut donc répondre à @gna, qui a la très bonne idée de poser les bonnes questions et de définir clairement des fonctionnements, des “limites”.
Ses règles de fonctionnement doivent être nettes, précises et “indiscutables” pour éviter de retrouver la souffrance que l’on a pour le moment, les conflits, la perte de temps et d’énergie.

Je n’attends pas d’avoir l’ensemble des réponses tout de suite, mais pour conclure et tenter d’extraire des propositions de ce débat, il me semble que c’est important :slight_smile:

ce qui fait souffrir , c’est les conflits. L’opposition national / local peut être source de conflits et ça, il faut le gérer. Mais les oppositions idéologiques aussi et c’est pas pour ça qu’il faut les effacer.

Un tract créé par une section locale sera utilisé et diffusé par cette dernière, à priori dans le périmètre géographique de ses actions.
Les limites, à priori, sont celles de la DPG et du programme : en clair, s’il ne contrevient pas aux valeurs du parti pirate, il n’y a aucun problème.
A priori, une section locale est réputée avoir les capacités pour produire ce type de documents. Si un jour une section locale déconne à plein tubes en publiant, je sais pas, par exemple des trucs racistes, je pense que les statuts actuels permettent de lancer une mesure disciplinaire.
Mais tant qu’il n’y a pas de problème, chacun prend ses responsabilités. En IDF, des tracts, on en a pondu des paquets ces dernières années. J’imagine que les autres SLs aussi et ça n’a jamais posé de souci particulier.

Tu fais ton tract, vous faites votre tract dans le cadre d’un groupe de travail constitué (ex. Groupe Pirate de Méditerranée).
Pour le financement, deux options :

  • Soit tu disposes d’un budget annuel pour ton groupe, auquel cas du pioche dedans
  • Soit il faut une rallonge budgétaire ou un budget propre alors il faut présenter une demande à l’assemblée générale. C’est l’option la plus contraignante et qui demande le plus de temps. Cela demandera de s’y prendre en amont

Pour l’approbation du fond : il faut que cela respecte la DPG et le programme.
Qui pour contrôler ? Je pense que demander à trois pirates dans un membre du bureau qui ne travaillent pas dans ce groupe de valider le fond serait la manière la plus facile mais qui peut présenter le flanc à la critique.
Pour la forme, il faudra compter sur le soutien d’un possible groupe de graphiste.

Dans l’hypothèse d’un tract qui aurait des implications nationales, je pense qu’une validation par 5 pirates dont 1 membre du bureau seraient mieux. L’hypothèse parfaite viserait à essayer de préparer les tracs juste avant un vote de l’Assemblé générale permanente.

Pourquoi un membre du bureau ? Pour vérifier que le texte ne contient pas d’élément susceptible d’engager la responsabilité juridique du PP. Il disposerait d’un droit de suspension du tract mais uniquement pour le fond. Ce droit de suspension viserait à éviter la publication d’un outil de propagande qui serait juridiquement dangereux. Cette suspension devrait être évidemment motivée et susceptible d’un recours devant l’organe amené à remplacer la CODEC

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Il faut travailler sur nos processus, en croisant type de décision (suivant la nature et l’échelle), un mode de décision (validation, travail de groupe, vote, etc.) et des modalités (formalisme, délais, publicité…). On y verra alors plus clair.

C’est là que je me rends compte que je n’apprécie vraiment pas les discussions par ordinateur interposé. Tant pis pour moi. Il y aura d’autres instances moins virtuelles dans lesquelles je pourrais m’exprimer plus facilement.

A vous lire, j’ai toujours du mal à bien cerner où se situe le(s) problème(s).
En tous cas, je trouve important, voire nécessaire de laisser une marge d’autonomie aux sections, qu’elles soient locales, de secteurs, …
Vous pourriez définir un budget de fonctionnement pour chacune de ses sections qui servirait à financer les affaires courantes. J’imagine que chaque section rend des comptes au national, y compris sur l’utilisation des fonds. Et à côté de ce budget de fonctionnement régulier, il pourrait y avoir un budget ponctuel pour appel à projet, qui serait attribué soit par le bureau ou par une commission financière (ou autre instance)

J’estime que ma cotisation d’adhérent de base doit à la fois permettre au fonctionnement de la section la plus proche de chez moi mais doit permettre également de financer une opération intéressante à l’autre bout de la France menée par une section que je ne rencontrerais sans doute jamais.
A moins d’une raison valable, le reliquat d’une section, après l’arrêt des comptes annuels, devrait être transférer au national, pour gonfler l’enveloppe “Projets”

Un Pirate se doit d’être Particulièrement Intègre, Régulièrement Altruiste, Temporairement Egoiste, :wink:

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Belle formule !

En tant que trésorier, j’aimerais intervenir sur l’aspect technique sur les budgets.

Les budgets des SL sont gérés de façon séparée par rapport à la comptabilité du PP, c’est à dire que les comptes sont certifiés sans que ces allocations apparaissent. Elles sont visibles seulement sur le wiki. La mise à jour est manuelle et laborieuse ce qui explique pourquoi les mises à jour peuvent être espacées et que pour éviter toutes erreurs il vaut mieux demander au trésorier ce qu’il reste exactement sur le budget. Ce point pourrait être bien sûr amélioré avec une gestion informatisée plus intégrée si c’est jugé nécessaire.

Sur l’utilisation du budget, je n’ai pas rencontré de gros problème, le bureau de la section me communique une dépense pour je fasse le paiement après décision de dépense de la section. L’accumulation de certaine section ne posent pas de réel souci si ce n’est quand cas de grosse dépense le trésorier doit vérifier que la dépense ne met pas à mal le budget général mais c’est le cas de toutes les dépenses.

Le problème réel vient des sections inactives qui ont de l’argent alloué mais personne pour le dépenser. Je ne pense pas qu’il soit nécessaire de réglementer cet aspect, on peut décider au cas par cas en AG.

Concernant l’origine de l’attribution, aujourd’hui c’est 100% des dons, aucune part de la cotisation obligatoire n’est reversée aux sections locales. Personnellement je ne vois aucun problème concernant ce fonctionnement. Je pense d’ailleurs qu’il est important que les sections locales aient une autonomie budgétaire, tant que les valeurs pirates soient respectées dans son utilisation.

Par rapport aux actions de communication locales on pourrait déjà imposer l’utilisation du logo local car je suis d’accord q’il faut différencier la communication locale de la communication nationale pour les tracts et autres supports, ce qui n’est pas le cas actuellement.

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