[EVOLUTION PP]Organisation interne

Je vais me permettre de te répondre @yv_pic, mais cela correspond à la réponse à plusieurs personnes hein :slight_smile:

Noter en préalable :

  1. Si vous pensez que je ne suis pas la bonne personne pour mener le débat, je suis tout à fait disposé à passer la main (j’ai peut-être mal compris hein, mais je préfère préciser tout de suite).
  2. Je précise aussi que si je participe au débat, je le fais peu, je tente pour ma part d’extraire différentes propositions pour permettre aux pirates d’avoir des propositions forte et documentée (et ne pas refaire les erreurs de 2012 en gros).

Bon, reprenons :

Alors je vais avoir besoin de précision, mais aussi celle de @Thufir sur le sujet.
Je ne pense pas que @Florie (et moi, je suis globalement sur la même ligne je le reconnais) sommes pour la disparition d’un niveau local pour l’action. Je dirais même qu’au contraire, l’idée c’est de rapprocher l’action au plus près de la réalité.

Pour ma part, vos positions m’inquiètent sur un point, que j’ai exprimé a Pantin : De revoir l’opposition, factice, mais toujours utilisée, du “national” contre le “local”. Et franchement, je la devine de nouveau dans vos propos :frowning:

J’aimerais mettre aussi un point en avant, c’est le fait que de ne pas avoir des sections locales partout est un gros problème aujourd’hui, tant dans la communication avec les nouveaux pirates (pas de section chez toi, dommage, au revoir !), mais aussi de fonctionnement (il se passe un truc dans le grand est, on ne peut pas s’exprimer, on n’a pas de section locale).

Maintenant, puisque l’on “cristallise” sur le local, je vais tenter de définir rapidement chaque proposition. C’est une tentative, elle méritera correction de votre part à tous.

Proposition 1 :

  • Plus de différence de gestion entre section locale et section interne
  • la création d’une section locale est libre, la seule règle est la non-superposition géographique
    – Note : Pour moi c’est le point un peu flou de la proposition, qui demande précision
  • La gestion du budget change, c’est l’ensemble des pirates qui attribue chaque année un budget comme les autres sections interne, à la demande de la section (exemple : la section IDF à besoin de 1500 € pour l’année 2018 pour tel type d’action).
    – Note :Merci de noter que l’on ne demande pas aux pirates de s’exprimer pour chaque dépense d’IDF
  • La question de la prise de position politique au nom du PP : Aucune
    – Note : la encore, il me faudra confirmation ET explication, je pense

Proposition 2 :

  • On garde la logique de la section locale et de la section interne
  • La création d’une section locale est assouplie
    – Note : il me faudrait plus d’explication sur les assouplissements possible dans la définition géographique
  • La gestion du budget change (pour @yv_pic, soumis à l’AG permanente) ou pas (pour @Thufir, on garde le fonctionnement actuel)
    – Note : le système de demande de budget proposé en proposition 1 semble être approuvé pour les sections internes, je ne reviens pas dessus, j’ai bon ?
    – Note : @Thufir et @yv_pic, j’ai pris vos pseudos car vous proposer ses “versions” hein

Je n’ai pas été contacté, je vais relancer :slight_smile:

Alors oui, tout simplement, car je pense qu’il va falloir plusieurs posts et que je n’ai pas eu le temps d’en lancer un deuxième sur l’AG permanente par exemple :slight_smile:

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Pour ma part, je m’inscris plutôt dans cette proposition vous l’aurez compris.

Plus de différence entre section locale et section interne

Il faut rentrer dans une logique de groupes de travail qui peuvent avoir une multitude d’objet : programme, communication, alliance, local… Dans la pratique, chaque section devrait, au moment de sa création, se doter d’un document (une charte, un règlement) qui définirait son champ d’action. Cela permettrait d’éviter les doublons et les éventuels chevauchement (ce qui répond partiellement à la question suivante).

la création d’une section locale est libre, la seule règle est la non-superposition géographique

Oui et non. Mieux vaut éviter la superposition des champs de compétences que la superposition géographique.
Par exemple, un groupe de travail est créé sur Lille avec pour mission l’animation, l’accueil et la réalisation d’événements politique sur la ville. Il est tout à fait possible d’imaginer un groupe Haut-de-France qui aurait les mêmes missions mais sur un champ de compétence différent : celui de la région. Les problématiques ne sont pas les mêmes.
Cela permettrait, à mon avis, d’assurer une meilleure couverture des territoires. Si certaines zones ne seront pas couvertes, il ne faut pas se priver non plus d’avoir plusieurs groupes sur une même zone tant que leurs champs de compétence ne sont incompatibles.

La gestion du budget change, c’est l’ensemble des pirates qui attribue chaque année un budget comme les autres sections interne, à la demande de la section

Les groupes devront déposer annuellement devant l’assemblée générale une demande de budget.
Non, il ne s’agit pas de faire voter chaque projet de la section individuellement, comme j’ai pu le lire. L’objectif est avant tout de permettre d’avoir une vision globale, de la transparence et éviter la thésaurisation inutile.

Concrètement, les groupes pourront présenter un plan annuel avec les grandes actions qu’ils souhaitent mener, leurs frais de fonctionnement et éventuellement demander une réserve pour parer à des dépenses imprévues (dans la limite du raisonnable). Finalement, cela reviendrait à présenter d’une année sur l’autre un budget prévisionnel basé sur les dépenses à n-1. Après, libre au groupe de dépenser son enveloppe comme elle l’entend MAIS elle devra garder à l’esprit qu’elle devra rendre des comptes à l’assemblée générale à la fin de l’année.

Que ferait-on en cas de dépassement de budget à cause d’un événement imprévu ? La meilleure solution serait de faire voter un budget spécifique pour le projet qui n’était pas prévu initialement.

La question de la prise de position politique au nom du PP : Aucune
Je pense que le statut actuel qui nécessite un consensus entre 3 pirates minimum devrait être maintenu. Évidemment, cela se limiterait à la prise d’une décision politique dans le cadre du champ de compétences du groupe du travail.


De manière plus générale, le modèle que nous sommes plusieurs à proposer répond à plusieurs objectifs :

  • Assouplir notre mode de fonctionnement pour couvrir un maximum de champs de compétences (territoriale, thématique, relationnel)
  • Permettre aux pirates d’avoir une vision transparente de l’action globale de nos actions
  • Éviter l’accumulation d’actifs qui pourraient être utiles ailleurs

Sur la question de la dévolution des actifs répartis dans les sections, il est nécessaire pour assurer le bon fonctionnement de ce nouveau modèle (s’il est choisi par les pirates) de remettre notre système budgétaire à plat.
L’argument du fléchage des dons vers les sections est, juridiquement, non pertinent dans le sens où tous les dons sont faits à l’AFPP qui reverse les deniers au PP. L’attribution aux sections n’est qu’une fiction comptable.
Vouloir conserver la trésorerie accumulée et non utilisée est égoïste et pénalise le parti.

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Voilà mon (long) post du jour. Je vais répondre à Nicolas sur les questions d’organisation du débat et à Florie et Aurifex (mais aussi nicolas) plsu sur le fond.

1) sur l’organisation du débat

Tu es sans doute la personne la mieux placée pour organiser le débat. Le fait que tu aies une position clairement énoncée est un gage de lisibilité. Je pense que ce point n’est contesté par personne.

Point important : je ne suis pas opposé du tout à la mise en place de votre système… là où il est bénéfique, c’est à dire là où les sections locales sont inexistantes et/ou leur fonctionnement est insatisfaisant et/ou les adhérents desdites sections locales souhaitent le mettre en place.

Donc on serait plutôt sur un choix du type

Proposition 1 : les sections locales disparaissent pour être éventuellement par la suite remplacées par les sections internes

Proposition 2 : Proposition 1 + celles des sections locales qui le souhaitent peuvent voter leur survie. Dans ce cas, elles conservent leurs statuts, leur fonctionnement et leur trésor de guerre.

Le principe c’est de ne pas être dogmatique et d’accepter une certaine modularité dans notre fonctionnement. Et ce n’est pas du tout incompatible avec le fonctionnement que vous imaginez.

Prenons un exemple : des parisiens se montent en section interne et ont un projet qui coûtent 1000€ et qui a des chances d’avoir un retentissement un peu national (on y croit :innocent: ). Ils peuvent aller taper au national pour 500 et dans la section pour 500. C’est le genre de fonctionnement qui est très courant dasn le financement des projets.

Sur le fond

a) sur l’opposition national / local

Cette opposition n’est pas factice. Elle est normale dans toute structure nationale qui a des implications de terrain. Et ce n’est pas un problème en soi, ça peut être géré de façon tout à fait saine. La question est de savoir qu’il y a un curseur à placer entre le local et le national et de savoir où on le place.

Tous les partis politiques ont des instances nationales et tous ont des instances locales. Les logiques ne sont pas toujours les mêmes. Et il n’y en a pas les unes qui ont par nature raison et les autres par nature tort.

Quand je voulais qu’on réfléchisse à une liste de formation avec lesquelles on refuse de s’allier, c’est à ça que je pensais. Délimiter le périmètre de liberté des pirates, notamment pour des actions locales. Mais ensuite, dans ce périmètre, laisser faire sans que tout ait à passer par une validation nationale. Parce que, clairement, on a besoin d’une forme de variété dans nos engagements.

Mais cette variété doit avoir ses limites. On se souvient du pirate élu sur une liste UDI et qui a fini par rejoindre Dupont Aignan. Là, clairement, on était en dehors de ce qui est souhaitable. Sauf que ça n’avait pas été formalisé.

Cette réflexion dépasse la question seule des sections locales mais effectivement je m’alarme de constater que vous voulez mettre en place un système certes démocratique mais beaucoup trop centralisé et, partant, beaucoup trop uniformisant.

Idée : la question des nouveaux statuts me semble trop vaste pour être utilement traitée sur un fil. Peut on créer une sous section “refonte des statuts” dans laquelle Nicolas, et lui seul, pourrait lancer des fils de discussion

b)Sur l’efficacité des sections locales

Comme dit lors de l’AG idf, je n’estime pas que la section IDF a rempli ses objectifs, très loin de là, en 2017. Mais elle a été capable de gérer près de 60% des candidats pirates alors qu’elle compte 28% des adhérents, le tout avec la quasi parité et de lever 24 k€. Elle n’aurait rien fait sans le soutien du national, bien sûr, mais clairement en tant que structure elle s’est avérée relativement efficace et moteur.

Après je ne sais pas comment les autres sections ont vécu l’épisode. Mais du fait de ce bilan et du fait des spécificités géographiques de la section (superficie réduite, forte densité de population + découpage électoral cohérent avec les limites de la région), je pense que l’échelon régional est, en idf, assez cohérent.

Le budget, effectivement, il doit pas servir ( et à ma connaissance il n’a jamais servi) à boire des coups. Mais non, boire des coups n’est pas sans intérêt. Se voir, se connaître, échanger IRL est important. La convivialité est importante. Et c’est une mission centrale des sections locales.

C’est un des thèmes sur lequel Le comité invisible (par exemple dans le bouquin “à nos amis”) est le plus convaincant. Les luttes sont affaire de rencontres, d’affinité interpersonnelles. C’est fondamental, c’est ça qui donne de la puissance à un groupe quand on a ni le nombre, ni le temps ni l’argent.

Cette convivialité peut aussi se retrouver sur la toile, sur des outils comme discourse ou autres. Mais c’est pas incompatible avec les rencontres IRL qui doivent rester un élément fondamental du militantisme. Sans cela, déjà, il y a tout un paquet de gens qu’on ne touchera pas.

C’est pour ça que la quadrature fait des quadrapéro. Si ensuite ça défrise des gens qui nous font une mauvaise réputation, j’ai envie de dire : tant pis pour eux. A priori ils n’étaient pas dans notre cible.

c) sur le budget

Honnêtement, je trouve que c’est super moyen. On va se retrouver avec des sections qui auront un budget à dépenser et il leur “suffira” d’aller au national le demander pour l’obtenir. Je ne suis pas sûr que ça soit une gestion super vertueuse, en tous cas pour du local.
Pour un mode projet, oui, mais pour une action pérenne , je pense qu’il faut que les acteurs soient davantage responsabilisés.

Je ne peux pas laisser passer ça. Parler d’égoïsme, c’est clairement se situer hors du champs de la bienveillance qui est réclamée sur ce fil. Ce n’est pas pour le plaisir de m’asseoir sur un tas d’or par ailleurs très relatif que je demande à ce que les sections ne soient pas dépossédées de leurs réserves.

Que les dons soient faits à l’AFPP, je n’en disconviens pas. Ca rend la dépossession des sections locale par le national parfaitement légale. Ca n’en fait pas pour autant une opération souhaitable et éthique. L’argent qui a été récolté par les sections l’a été du fait de leur activité, de leurs efforts et les donateurs ont fait leurs choix en connaissance de cause. Si les pirates d’IDF souhaitent remettre leurs réserves de cash au national, c’est leur choix. En tout état de cause je ne comprendrais pas que des pirates d’autres régions décident pour eux.

Il me semble que vous pensez que les donateurs qui donnent pour les régions donneront de la même façon pour le national. Je peux me tromper mais je crois que vous allez aux devants d’une déception.

Et comme Gna, je pense que garder un peu de cash à dispo sur le terrain sans avoir à toujours remonter au national, même si les procédures sont démocratiques, ça sera garant de flexibilité et d’efficacité.

Conclusion

A part si je suis interrogé, je pense avoir à peu près dit ce que j’avais à dire sur le sujet local / national et je m’abstiendrai de poster à nouveau sur ce fil tatn qu’on causera de ça (pour la formulation des propositions, on a encore du temps, autant décanter un peu). Je lirai avec Je serai très client de discuter AG Permanente :wink:

Bjour,

à ce sujet il y a truc qu’il faut bien éclaircir

Je suis d’accord su le fond MAIS un exemple comment faire pour un tract ?
Parce que dans l’absolu ça engage le parti, Je prend cet exemple parce que ça m’est arrivé de demander de proposer et d’attendre encore les réponses…
Actuellement (en PACA) on a commencé à bosser sur un tract générique, comment ça ce passe ?
qui va donner le feu vert pour qu’on passe à l’impression une fois qu’on aura partagé le texte ?

Bonsoir,
ce serai moi aussi mon dernier post sur ce fil. Je laisse les clés, s’il y a besoin à @Thufir qui exprime des positions proches des miennes.

Alors je vais encore vous embêter un peu @yv_pic et @Thufir, de même que @Aurifex ou @Florie :wink:

En effet, vous n’êtes pas sans savoir que pour le moment, l’opposition (qui n’existe pas dans nos statuts actuels) entre le national et le local a fait souffrir des pirates (et j’en fais partie).

Si la disparition de la coordination nationale est une partie de la solution, cela reportera les critiques vers le bureau (aussi petit qu’il soit).

En réalité, il faut donc répondre à @gna, qui a la très bonne idée de poser les bonnes questions et de définir clairement des fonctionnements, des “limites”.
Ses règles de fonctionnement doivent être nettes, précises et “indiscutables” pour éviter de retrouver la souffrance que l’on a pour le moment, les conflits, la perte de temps et d’énergie.

Je n’attends pas d’avoir l’ensemble des réponses tout de suite, mais pour conclure et tenter d’extraire des propositions de ce débat, il me semble que c’est important :slight_smile:

ce qui fait souffrir , c’est les conflits. L’opposition national / local peut être source de conflits et ça, il faut le gérer. Mais les oppositions idéologiques aussi et c’est pas pour ça qu’il faut les effacer.

Un tract créé par une section locale sera utilisé et diffusé par cette dernière, à priori dans le périmètre géographique de ses actions.
Les limites, à priori, sont celles de la DPG et du programme : en clair, s’il ne contrevient pas aux valeurs du parti pirate, il n’y a aucun problème.
A priori, une section locale est réputée avoir les capacités pour produire ce type de documents. Si un jour une section locale déconne à plein tubes en publiant, je sais pas, par exemple des trucs racistes, je pense que les statuts actuels permettent de lancer une mesure disciplinaire.
Mais tant qu’il n’y a pas de problème, chacun prend ses responsabilités. En IDF, des tracts, on en a pondu des paquets ces dernières années. J’imagine que les autres SLs aussi et ça n’a jamais posé de souci particulier.

Tu fais ton tract, vous faites votre tract dans le cadre d’un groupe de travail constitué (ex. Groupe Pirate de Méditerranée).
Pour le financement, deux options :

  • Soit tu disposes d’un budget annuel pour ton groupe, auquel cas du pioche dedans
  • Soit il faut une rallonge budgétaire ou un budget propre alors il faut présenter une demande à l’assemblée générale. C’est l’option la plus contraignante et qui demande le plus de temps. Cela demandera de s’y prendre en amont

Pour l’approbation du fond : il faut que cela respecte la DPG et le programme.
Qui pour contrôler ? Je pense que demander à trois pirates dans un membre du bureau qui ne travaillent pas dans ce groupe de valider le fond serait la manière la plus facile mais qui peut présenter le flanc à la critique.
Pour la forme, il faudra compter sur le soutien d’un possible groupe de graphiste.

Dans l’hypothèse d’un tract qui aurait des implications nationales, je pense qu’une validation par 5 pirates dont 1 membre du bureau seraient mieux. L’hypothèse parfaite viserait à essayer de préparer les tracs juste avant un vote de l’Assemblé générale permanente.

Pourquoi un membre du bureau ? Pour vérifier que le texte ne contient pas d’élément susceptible d’engager la responsabilité juridique du PP. Il disposerait d’un droit de suspension du tract mais uniquement pour le fond. Ce droit de suspension viserait à éviter la publication d’un outil de propagande qui serait juridiquement dangereux. Cette suspension devrait être évidemment motivée et susceptible d’un recours devant l’organe amené à remplacer la CODEC

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Il faut travailler sur nos processus, en croisant type de décision (suivant la nature et l’échelle), un mode de décision (validation, travail de groupe, vote, etc.) et des modalités (formalisme, délais, publicité…). On y verra alors plus clair.

C’est là que je me rends compte que je n’apprécie vraiment pas les discussions par ordinateur interposé. Tant pis pour moi. Il y aura d’autres instances moins virtuelles dans lesquelles je pourrais m’exprimer plus facilement.

A vous lire, j’ai toujours du mal à bien cerner où se situe le(s) problème(s).
En tous cas, je trouve important, voire nécessaire de laisser une marge d’autonomie aux sections, qu’elles soient locales, de secteurs, …
Vous pourriez définir un budget de fonctionnement pour chacune de ses sections qui servirait à financer les affaires courantes. J’imagine que chaque section rend des comptes au national, y compris sur l’utilisation des fonds. Et à côté de ce budget de fonctionnement régulier, il pourrait y avoir un budget ponctuel pour appel à projet, qui serait attribué soit par le bureau ou par une commission financière (ou autre instance)

J’estime que ma cotisation d’adhérent de base doit à la fois permettre au fonctionnement de la section la plus proche de chez moi mais doit permettre également de financer une opération intéressante à l’autre bout de la France menée par une section que je ne rencontrerais sans doute jamais.
A moins d’une raison valable, le reliquat d’une section, après l’arrêt des comptes annuels, devrait être transférer au national, pour gonfler l’enveloppe “Projets”

Un Pirate se doit d’être Particulièrement Intègre, Régulièrement Altruiste, Temporairement Egoiste, :wink:

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Belle formule !

En tant que trésorier, j’aimerais intervenir sur l’aspect technique sur les budgets.

Les budgets des SL sont gérés de façon séparée par rapport à la comptabilité du PP, c’est à dire que les comptes sont certifiés sans que ces allocations apparaissent. Elles sont visibles seulement sur le wiki. La mise à jour est manuelle et laborieuse ce qui explique pourquoi les mises à jour peuvent être espacées et que pour éviter toutes erreurs il vaut mieux demander au trésorier ce qu’il reste exactement sur le budget. Ce point pourrait être bien sûr amélioré avec une gestion informatisée plus intégrée si c’est jugé nécessaire.

Sur l’utilisation du budget, je n’ai pas rencontré de gros problème, le bureau de la section me communique une dépense pour je fasse le paiement après décision de dépense de la section. L’accumulation de certaine section ne posent pas de réel souci si ce n’est quand cas de grosse dépense le trésorier doit vérifier que la dépense ne met pas à mal le budget général mais c’est le cas de toutes les dépenses.

Le problème réel vient des sections inactives qui ont de l’argent alloué mais personne pour le dépenser. Je ne pense pas qu’il soit nécessaire de réglementer cet aspect, on peut décider au cas par cas en AG.

Concernant l’origine de l’attribution, aujourd’hui c’est 100% des dons, aucune part de la cotisation obligatoire n’est reversée aux sections locales. Personnellement je ne vois aucun problème concernant ce fonctionnement. Je pense d’ailleurs qu’il est important que les sections locales aient une autonomie budgétaire, tant que les valeurs pirates soient respectées dans son utilisation.

Par rapport aux actions de communication locales on pourrait déjà imposer l’utilisation du logo local car je suis d’accord q’il faut différencier la communication locale de la communication nationale pour les tracts et autres supports, ce qui n’est pas le cas actuellement.

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