Je préfère l’autoritarisme procédurier à la dictature de l’urgence. L’urgence ne permet ni de penser, ni de débattre, l’urgence va contre les fondements de nos statuts. Ce que tu appelles autoritarisme procédurier est ce qui assure, entre autre, une égalité de traitement. Essaye d’appliquer ça à la manière dont cet argument est utilisé pour justifier les politiques publiques, ou encore, les atteintes à la liberté ? Je pensais que c’était un truc important non ?
Il me semble pourtant qu’une problématique similaire a déjà eu lieu :
Permets moi donc de douter grandement, si ce n’est de ta mémoire, au moins de ta bonne foi.