Rédaction motion agriculture

En effet, l’agriculture de conservation est plus rigoureusement définie que l’agriculture paysanne. Je soutiens donc ces suppressions pour laisser la place à des motions axées sur l’agriculture de conservation.

Par contre, ça me semble pas forcément contradictoire de laisser agri bio d’une part et agri de conservation d’autre part : ça peut vouloir dire qu’on a conscience qu’un modèle unique n’est pas souhaitable (moins lisible mais plus de nuances)

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Hm, donc je la nomme dans le même style ? « Transition pour une agriculture de conservation » ?

Pas forcément, les deux systèmes peuvent co exister, donc j’aime bien “pour une agriculture de conservation”, c’est juste pas contradictoire avec “pour une agriculture bio” (on peut imaginer faire de l’agriculture de conservation sur une parcelle et de l’agriculture bio sur une autre)

Tout ça pour dire qu’avoir agri bio en parallèle ne me choque pas (au contraire !)

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Ah alors je viens de relire la motion agriculture biologique : pour moi elle porte mal son nom elle devrait plutôt s’appeller “accès au foncier agricole”

Et du coup, je suis d’accord avec toi

(internet mobile toussa toussa je galérais à accéder au texte de la motion)

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Bonsoir,

je viens ici poser des questions afin d’éclaircir ma lanterne :

  • l’agriculture de conservation des sols rentre bien dans le concept plus vaste d’agroécologie ?

Si j’ai bien compris il s’agit d’une technique d’exploitation, qui correspond aux critères de l’agroécologie comme d’autres (la certification agriculture haute valeur environnementale, l’agriculture durable, l’agriculture biologique,…)

  • Si oui Alors pourquoi être sélectif dans le titre de la motion et ne promouvoir que celle ci ?

est ce parce qu’il y a d’autres types d’agricultures plus très douteuses dans le concept global d’agroécologie comme la biodynamie ?
est ce parce qu’elle est plus viable qu’une autre comme la permaculture ou l’agriculture de précision ? existe t’il des éléments expliquant ce choix ?

  • Cela ne risque t’il pas de fermer des portes plus que d’en ouvrir ?

je trouve la motion bien et équilibré, mais ne pourrait on pas réfléchir a un positionnement plus global qui ne mettrait pas en concurrence les différentes agricultures répondant aux critères agroécologie ?

Comme par exemple avec un positionnement maitre (que je simplifie ici) : le PP est ok avec l’agroécologie
et plusieurs motions (comme celles ci) sur les différents types d’agriculture que nous acceptons de supporter.

  • Et enfin, ne pourrait on pas encourager un cahier des charges plus encadrant pour l’agriculture de conservations des sols ?

si je prends cette définition ici , on observe dans le dernier paragraphe ceci :

…Les systèmes rencontrés en agriculture de conservation sont très variés puisque le choix des pratiques se fait en fonction des caractéristiques de la situation de production (pédoclimat, contexte socio-technique, …). De plus, les principes sont souvent appliqués partiellement, correspondant la plupart du temps à des étapes de transition, ce qui augmente cette diversité…

Une diversité et une variabilité dans l’application des principes de conservation des sols, ce qui est aussi énnoncé par @Mjiz dans le débat me semble t’il sur les différences entre l’agroécologie à la française et celle d’amérique latine. Ce qui manifeste pour moi un manque de cadre.

Alors je n’ai pas d’expérience en agriculture en dehors de ce que je lis, je trouve la motion très bien. ces questions sont simplement mes craintes (doutes) et elles auraient été à peu près les mêmes si elle s’appelait “pour une agriculture biologique” et occultait les alternatives (en laissant tomber les rituels sacrificiels et la magie)

merci de vos réponses

Malheureusement non, l’agroecologie, à ma connaissance, ne préconise pas l’arrêt du travail des sols. C’est plus une philosophie qu’une suite de préconisations avec des buts mesurables précis. C’est très liés aux mouvements de retour à une agriculture « paysanne » (défendu par la confédération paysanne, plutôt orienté gauche, longtemps PS) en opposition à une agriculture « industrielle » (terme que je trouve inadapté mais qui évoque l’idée d’une agriculture boostée au pétrole et biocides). On en retrouve des aspects dans le lien que tu as fournis.

Or, à mon avis, nous n’avons pas besoin de nous battre ou de promouvoir un retour à des structures agricole dites paysannes, c’est à dire plutôt d’un niveau d’une ferme familiale. On peut faire des trucs très bien, qui respecte les sols, la biodiversité, tout en produisant à grande échelle pour répondre à la nécessité française. Les 2 ne sont pas contradictoires a priori (mais ça peut se débattre).

Toutes ces catégories d’agricultures n’amènent pas à des certifications. À ma connaissance il n’y a pas de certification agriculture de conservation, ni de certification agriculture agro-ecologique.

De mon point de vue, la question de la protection des sols doit prendre le pas sur toute considération plus « politique » comme le débat s’est présenté durant les 40 dernières années : est-ce qu’on doit utiliser des intrants ou pas, est-ce qu’on doit laisser les agri s’agrandirent ou pas, est-ce qu’on devrait pas retourner à des petites fermes à faible impact environnementale etc… À mon avis ce débat est dépassé, on doit proposer une vision différente qui défende des méthodes et pas une idéologie agricole (au sens péjoratif du terme).

Après, ça n’empêche pas de défendre d’autres choses, c’est un choix politique. L’agriculture de conservation me tient à cœur parce qu’elle est à mon sens trans-partisane (c’est mon avis, d’autres peuvent le voir différemment), et que c’est le type d’idée que je veux voir évoluer au PP.

La permaculture s’applique plutôt au maraîchage donc pas vraiment au niveau agricole, avec des dizaines ou des centaines d’hectares, mais les principes de conservation des sols sont les mêmes, c’est donc plutôt complémentaire.
L’agriculture de précision est transversale à tout ça, tout comme ce qui tient des techniques culturale simplifiées. Je suis moins à l’aise pour en faire une motion parce que je n’ai pas été regardé en détail ce que ça propose ni s’il y a une définition exacte.

Les questions que tu poses tiennent plutôt à l’organisation générale d’un programme pour l’agriculture. Et je ne saurais pas te répondre. On pourrait essayer en effet de faire s’articuler différents points, mais, à mon avis, on a pas besoin de statuer sur tout, enfin, là aussi, c’est à débattre.

Je laisse Mjiz répondre sur la question du cadre.

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Rien à rajouter , si ce n’est un point :
Quand on parle d’agriculture de conservation, on parle de quelque chose avec une définition claire et globalement admise au sein de la communauté scientifique alors que agro-écologie, la définition est beaucoup plus mouvante, ça va de trucs très rigoureux à du green-washing (selon qui le dit et dans quel contexte)

En ce qui concerne le manque de cadre, c’est à mon avis une impression dû aux différences des méthodes utilisées pour arrivées aux même résultats.

Je me suis peut-être un peu planté au dessus, mais l’agriculture de conservation s’attache à bien définir certains points (couverture du sol, non travail du sol) mais laisse le champ libre à tout un tas de techniques possibles pour continuer à produire, ce qui crée de la variabilité dans la manière dont elle est appliquée.

On pourrait tout à fait avancer dans ce cadre en le rendant plus restrictif, c’était un peu mon idée de départ avec le glyphosate par exemple.

Exactement, comme le dit @Bibo, l’agriculture de conservation, c’est trois piliers (diminution voire arrêt du travail du sol, rotations et introduction de cultures intermédiaires pour que le sol ne soit jamais nu) : c’est ça le cadre et il est clairement défini (depuis 2011, par la FAO notamment).

Ces piliers laissent le champ libre sur plein de choses, dont notamment l’usage ou pas de produits phytosanitaires : de mon point de vue, ça n’est pas un oubli mais quelque chose de volontaire. Je partage l’idée de vouloir réduire, voire à terme arrêter, les produits phytos, mais à ma connaissance, en France, l’Agriculture de Conservation + Biologique n’est pas encore au point : nous ne savons pas faire.

Ce que j’entend par pas encore au point :
L’agriculture de conservation (respect des trois piliers), lorsqu’elle est maitrisée ne semble pas avoir d’impact négatif sur le rendement par rapport à l’agriculture conventionnelle. J’insiste sur respect des 3 piliers : si on arrête juste de labourer mais qu’on ne repense pas son système, ça ne marche pas MAIS ça n’est pas non plus de l’agriculture de conservation (juste du non labour ou du non travail du sol, c’est différent).

Pour moi, ça semble tellement évident que si on arrête de labourer on repense son système et on introduit rotations et couverts que j’ai parfois pu faire l’amalgamme non travail du sol ~ agriculture de conservation. Je m’en rend compte quand je vois qu’on parle d’agroécologie pour les systèmes d’Amérique du Sud (un système qui tourne à la semence OGM brevetée, au phyto de la firme qui vend la semence, avec de la grosse mécanisation et accaparement des terres, pour moi, ces systèmes ne peuvent pas être qualifiés d’agroécologiques).

En France, il y a quelques personnes qui essaient Agriculture de Conservation + Agriculture Biologique, mais il semble que dans ce cas, le rendement chute fortement.

Il me semble qu’on a fait l’hypothèse implicite de maintenir le rendement a peu ou prou le niveau actuel et que donc, si on définit ça comme un objectif, alors le mix agriculture de conservation ET biologique n’est pas une solution possible aujourd’hui (alors que l’agriculture bio OU de conservation, prises individuellement et sous certaines conditions, n’ont pas cet inconvénient).

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Si ça n’est pas au bon endroit, on pourra déplacer le post.

Petit argumentaire rapide sur l’Agriculture de Conservation

Sur le bullet point le point principal et entre parenthèses, le contre-argument.
Les sources sont en texte masqué.
Entre crochets : quelques précisions sur un mot de vocabulaire ou le bout de phrase précédent.

les Pour

  • favorise une bonne structuration du sol : la réduction du travail du sol favorise la diversification des espèces de bactéries, champignons et animaux présents dans le sol
Sources

EFESE EA page 381 dernier §


  • favorise l’infiltration de l’eau dans le sol
Sources

EFESE EA page 381 dernier §
Synthèse glyposate INRA : page 51, § 3-6-1


  • permet de lutter contre l’érosion via la meilleure structuration du sol et la présence permanente d’un couvert [plante vivante] ou d’un mulch [résidus de plante, couvrant le sol]
Sources

EFESE EA :
page 381 dernier § : via la meilleure structuration du sol
page 350 § 4 : via la présence d’un couvert/mulch
Synthèse glyposate INRA : page 51, § 3-6-1
Etude 4 pour 1000 : p58


  • l’usage de couverts intermédiaires [des plantes qu’on met pour le sol entre deux plantes de vente ou de rente] permet d’augmenter la séquestration de carbone dans les sols, ce qui permet de contribuer à l’atténuation du changement climatique
Sources

Etude 4 pour 1000 : page 39 : le passage au semis direct ne permet pas de stocker plus de carbone dans le sol, ça modifie juste sa répartition (pas de travail du sol = pas de mélange = pas de “dilution du carbone” MAIS l’introduction de couverts intermédiaires permet une augmentation de la séquestration de carbone (en plus d’autres effets positifs tels que l’albédo)
Synthèse glyposate INRA : page 51, § 3-6-1

  • il existe une large gamme de couverts intermédiaires avec pleins d’effets bénéfiques, par exemple : occuper le sol pour limiter la pousse d’adventices [espèces non désirées ~ mauvaises herbes, par exemple : repousses de céréales], de piéger les nitrates [CIPAN/ crucifères, famille de la moutarde, du colza], de fixer de l’azote pour la culture suivante [légumineuses par ex. féverole] etc.

  • Le fait de mettre un couvert intermédiaire permet d’éclaircir la surface du sol [effet albédo] et de diminuer la température de surface par rapport à un sol nu, jouant ainsi sur le rayonnement infra-rouge thermique émis par la surface

Sources

travaux du CESBIO par ex. E. Ceschia et collègues.
Etude 4 pour 1000 :
page 39 Introduction de couverts : “A l’effet positif attendu par le stockage additionnel de C s’ajoute un effet favorable sur le climat via des effets biogéophysiques, tels que la modification de l’albédo.”
page 62 : "Remplacer un sol nu par une CI modifie deux paramètres du bilan radiatif des parcelles (rayonnement net): l’albédo (α, fraction du rayonnement solaire réfléchi par la surface) et le rayonnement infra-rouge thermique émis par la surface (qui dépend de la température de surface). "


  • ça permet de favoriser la biodiversité du sol, par exemple les vers de terre
Sources

Synthèse glyposate INRA : page 51, § 3-6-1
Etude 4 pour 1000 : p58


  • Réduction du temps de travail
Sources

Dico d’Agroécologie : Agriculture de conservation


  • le non-travail du sol du sol permet de faire des économies de carburant par rapport à un travail même minimal du sol.
Sources

Synthèse glyposate INRA : page 52 : alors que 0.9 chevaux/ha suffisent aux pratiques de semis direct [= pas de travail du sol du tout], une fourchette de 2 à 2,5 chevaux/ha semble la norme pour ceux qui pratiquent les Techniques Culturales Simplifiées [= un travail superficiel du sol]. Commentaire : on peut logiquement conclure que plus le travail du sol est important, plus l’énergie nécessaire (et donc la conso de carburant) est importante.
Etude 4 pour 1000 : p58 : diminution de la conso de carburant en non-labour de 50 à 84% (selon les conditions du labour)

les Contre

  • tout le monde peut dire “je fais de l’agriculture de conservation” car il n’y a pas de label (oui, mais la définition de l’agriculture de conservation est claire et partagée) (rien n’empêche à terme une certification, pouvant ouvrir la porte à des subventions spécifiques)
Sources

FAO : définition de l’agriculture de conservation
Dico d’Agroécologie : Agriculture de conservation


  • L’usage des produits phytosanitaires n’est pas interdit (certes, mais l’agriculture de conservation impose de faire des rotations d’au moins 3 cultures, ce qui comparé à une monoculture casse le cycle des bioagresseurs et est une pratique généralement recommandée pour limiter le recours aux phytos)
Résumé

Synthèse glyposate INRA : page 52 : on ne sait pas encore faire de l’agriculture biologique ET de conservation

  • mais il y a quand même une grosse dépendance au glyphosate pour le moment ([ne pas dire : le glyphosate disparait : il ne disparait pas, il se dégrade en produit que l’on ne savait pas doser et donc qu’on ne retrouvait pas, mais qu’on retrouve massivement mainteannt qu’on sait les doser, par ex. l’AMPA]) (si on ne gardait le recours au glyphosate que pour les situations d’impasse technique [les cas où aucune autre solution n’est possible], on aurait déjà fait un grand pas)
Sources

[Synthèse glyphosate de l’INRA](Synthèse glyposate INRA :
page 52 premières lignes : usage à faible doses et pas forcément tous les ans, mais dépendance
page 62 : quasiment aucune alternative au glyphosate en agriculture de conservation

  • Nécessite du matériel spécifique, semoir notamment (oui, mais hormis ça, le reste peut se bricoler. Dans certaines zones, des CUMA [mise en commun de matériel agricole] permettent de tester sans avoir à acheter. L’entraide entre voisins marche bien aussi dans certains endroits[Sud Ouest par ex])

  • quasiment personne le pratique, ça n’est pas généralisable (le bio aussi au début ça représentait très peu de surfaces, avec les subventions appropriées et la présentations du mode de production aux consommateurs, ça a décollé assez vite. Comme le bio, ça va nécessiter un accompagnement, notamment technique.) (nous ne pronons pas 100% de la surface agricole en agriculture de conservation, de façon générale, nous ne prônons pas un modèle unique, qui ne pourrait forcément pas être adapté à toutes les situations)

Sources

Synthèse glyposate INRA : page 51, § 3-6-1 : environ 3% de la surface nationale est implantée en semis direct. Le semis direct seul ne suffit pas à caractériser l’agriculture de conservation, mais cela donne un ordre de grandeur.

  • il faut faire des passages supplémentaires pour semer et détruire le couvert (pas dans toutes les situations : il est par exemple possible que le couvert soit consititué de repousses de céréales ou de colza [les graines qui sont tombées au sol lors de la récolte précédente repoussent et couvrent le sol]) (en général, quand on laboure, on fait aussi plusieurs passages [reprises de labour], avec par exemple des herses, des houes, donc même si on fait un passage de plus pour le semis ou la destruction, ça consomme quand meme moins au global que le travail du sol) (certaines plantes semées en couverts comme par exemple la phacélie sont gélives et ne nécessitent donc aucune action pour être détruites [à moduler : faut que ça soit un coin de la France où il gèle assez fort, sinon ça gèle pas])

  • l’agriculture de conservation entraine une chute des rendements (faux, lorsque les TROIS piliers sont mis en oeuvre, on n’observe pas de baisse significative du rendement. On peut observer une baisse de rendement dans les cas où seul le semis direct est appliqué)

Sources

Etude EFESE EA, page 710 dernier §

Les “ça dépend ça dépasse”

  • L’abandon du labour peut dans certaines situations mener à davantage d’émissions de N2O, gaz ayant un fort pouvoir de réchauffement global. Le bilan global sur les émissions de Gaz à Effet de Serre (GES) ne fait pas consensus.
Sources

Synthèse glyposate INRA : page 51, § 3-6-1 : augmentation des émissions de GES (mais pas plus de détails).
Etude 4 pour 1000 :
p58 : augmentation des émissions de N2Osurtout dans le sols humides. Peu d’effets dans les sols secs.
p60 : bilan global en GES positif (données détaillées) mais à confirmer, car les modèles ne prennent pas en compte toutes les modifications induites par l’arrêt du travail du sol.

En bonus

Ceux qui coinceraient qu’on appelle ça “pratique agroécologique” parce que ça n’interdit pas l’usage des pesticides : ça a d’autres effets bénéfiques sur les écosystèmes, ça serait dommage de condamner d’avance un mode de production qui a des effets bénéfiques sur plusieurs plans, simplement parce qu’on veut exclure les phytos. Ça représenterait déjà une avancée par rapport au mode de production majoritaire [appelé conventionnel]. Les services écosystémiques sont multiples.

Sources

EFESE


Sources à intégrer

MEA : Millenium Ecosystem Assessment
dernier rapport du GIEC, ils parlent d’albédo
peut-être un truc sur écophyto ?
Citations vers travaux de l’ISARA pour impasse technique si on veut faire AB + AC

Propositions pour les politiques publiques

Etude 4 pour 1000 : p103 : propositions pour les politiques publiques

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En lien avec tout ce qui a été dit ici, cette émission : (on déplace ou supprime au besoin si HS)

Vraiment très intéressante, avec Marc du fumier, dans laquelle on retrouve l’ensemble des arguments évoqués pour l’agriculture de conservation, les pistes à suivre. Bref je trouve qu’il met en avant une approche très intéressante de « l’agriculture du futur », très « pirate ».

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En effet, super intéressant, du coup, pour ceux qui auraient du temps de lecture, mais pas forcément du temps d’écoute, une petite retranscription est dispo dans le sujet “Transcription de l’émission”

(ne me demandez pas pourquoi, ça m’a pris comme ça …) au moins, ça permet de Ctrl + F ;p

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J’ai mis à jour la motion avec les arguments « pour » essentiellement. À mon avis les éléments contre doivent servir à guider les futurs motions qui préciseront une possible mise en œuvre.

Il y a peut-être un bout à retravailler sur les couverts, sinon ça fait beaucoup de répétitions. Comme tu es modo maintenant @Mjiz tu peux éditer directement mon texte initial x).

Et, je en sais pas si la mise en forme avec les sources à dérouler est intégrable au wiki. Un avis @ferguson ?

Alors, en code wiki : non, ce n’est pas possible. En HTML/CSS : c’est facile. Faudrait donc le faire avec des balises HTML et <style>. Normalement, Mediawiki accepte ces balises. Mais pas sûr qu’il kiffe. Je ferai un test demain matin et te tiendrai au jus dans la foulée

Sinon je reprends différemment, là, j’ai juste caché pour que ça soit à la fois lisible et accessible, mais c’est aussi possible de numéroter les sources et de faire de la référence à numéros

ou sinon de citer la source “normalement” ex. : EFESE, 2019 et en bas de pase d’avoir les références complètes cliquables

Le modèle c’est la vie (donc cela doit être possible) :wink:

C’est possible nativement dans un wiki

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Après quelques tests ce matin :
MediaWiki reconnait certaines balises HTML mais pas toutes (p. ex. il ne reconnaît pas <button> ni <style>). Créer une dropdown list reste possible à condition d’éditer MediaWiki:Monobook.css au préalable ou de faire des <div style=""> bien crades dans le modèle.

En résumé : c’est possible, moyennant un code un peu caca.