Pollution lumineuse, un combat obscur

Même si à Paris, on perçoit la pollution facilement des voitures, il y en à d’autres qu’on subit toujours les jours et même parfois la nuit, on s’en rend plus vraiment compte. En effet, même si certains efforts semblent être fait dans quelques villes de France, nous sommes loin d’emporter la majorité pour la lutte contre la pollution lumineuse et sonore.

La seule opposition finalement qui s’inscrit contre elle est finalement la sécurité, cependant, il est à noté qu’une lumière rassure, peut être, mais ne sauve pas forcément.
Avant tous, il n’est pas question forcément d’éteindre, tous les lumières de France, mais de les réduire conséquemment.

Quasiment dans toutes les villes de France, il y a un lampadaire tous les 5 mètres à vue d’œil, rien de forcement exact dans ces propos, n’ayant pas trouvé exactement le chiffre.

Le Natura 2000 et quelques associations comme ANPCEN, lutte, mais clairement ayant discuté avec l’un des protagonistes, ils n’arrivent pas à ce faire entendre. Mais, quelque part, même si le public ne les écoute pas, ce n’est pas forcement un problème immédiat.
En effet, il existe à ce jour plusieurs solutions divers et variées et qui devrais pourtant être plus intéressantes pour les municipalités.

Afin d’illustrer auprès de vous, je vais tenter de la présenter de manière la plus claire possible en vous racontant deux histoires vraies.

Une nuit de 2003, New York redécouvre le ciel, le 14 aout 2003, une journée très lourde se fait sentir, la climatisation est tellement forte qu’elle créer une coupure brutale un câble se dilate par la pression électrique et saute la tension étant tellement forte. Elle craque et touche un arbre, par sécurité, le courant passe sur le relais, mais la charge étant si forte que tous lâche.
50 000 millions d’habitants se retrouvent coupés d’électricité. C’est un black-out, un flot de piétonnes jonches les villes dont celle de New-York ne pouvant regagner leurs villes, oui car, comme les transports Train et Tramway ne peuvent plus circuler, les gens se retrouvent bloqués. Tous s’organisent et des tentes de fortunes sont mises en place.

Quand soudain la nuit tombe et c’est le choc, l’obscurité est totale, la police et les pompiers recevaient des milliers d’appels, car il voyaient une lumière luminescence dans le ciel, le spectacle est impressionnant et semble faire peur les habitants de New-York.

Mais la réponse étant très simple, les New-Yorkais voient pour la première fois de leur vie :

La voie Lactée.

Tout cela pour dire qu’aujourd’hui à Paris, nous voyons 24 étoiles, à Pékin 4 étoiles et normalement, les étoiles devraient être vue par milliers de différentes couleurs et à l’œil nu.
Il ne s’agit pas uniquement de beauté incontournable que nous ignorons la tête penché dans les téléphones mobiles et autres, mais aussi d’un impact sur l’écosystème, il est capital de vivre en harmonie avec la nature, dans la nature. Nous faisons grandir notre écosystème virtuel en dépit de la vraie nature. Même si vous êtes apathe (insensible), j’ai une deuxième petite histoire à raconter à qui sera pour les plus désespérants…

Aux Etats-Unis la ville de Los Angeles à remplacé 140 000 milles lampadaires par des Led et correctement dirigé au sol et en moindre quantité pour un résultat de 10 000 millions de dollars d’économies chaque année de quoi faire réfléchir sur les impôts locaux.
Alors la pollution lumineuse, c’est un combat à réfléchir et à faire réaliser pour le grand public et peut-être que dans toute les villes de France et dans le monde qui peut savoir, vous
pourrez constater un ciel comme celui-ci…

Pour aller dans ton sens : http://fr.ubergizmo.com/2016/06/13/avis-de-disparition-voie-lactee-seteint.html

J’ai entendu parlé de l’anecdote new-yorkaise, et elle me fait bien rire. Elle met en avant la problématique annoncée, avec en plus un manque flagrant de connaissance ou d’expérience.

Expérience mise en avant dans un épisode récent de la série Scorpion. Oui ce sont aussi des vecteurs de connaissance

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