J’ai simplement dit que nous l’utilisions pour le vote électronique pour les représentants du personnel au sein de mon organisme qui emploie près de 6000 personnes réparties dans quelques 200 établissements sur toute la France. C’est loin d’être la panacée, pour la participation en particulier, la rencontre avec les électeurs pendant le vote … mais c’est hyper cadré juridiquement (enfin si les organisations syndicales font le nécessaire), et s’il y a un soupçon de fraude ou d’orientation le fraudeur (y compris la direction risque gros, très gros !) … mais ces arguments je n’ai jamais eu l’occasion de les confronter parce que tout était toujours ramené au technique et que quand j’évoquais les nombreuses fraudes qui avaient existé par le vote réel on me ramenait à la transparence ! J’essayais juste de dire que ni l’un ni l’autre n’était parfait, et que l’opposition au vote électronique pouvait être temporisée par le cadre juridique qu’on y mettait.
Je n’ai pas d’avis, et je n’ai toujours pas compris de manière “vulgarisé” pourquoi la blockchain était problématique. Pour autant, les cryptomonnaies me semblent avoir des avantages sur les monnaies contrôlées par les banques centrales, mais là encore, impossible d’essayer d’en débattre - on te renvoie à des liens abscons. Un parti “geek” compatible ne peut faire l’économie de mon point de vue de s’interroger sur la place que l’on laisse aux cryptomonnaies qui existent et qu’aucun pouvoir démocratique ne pourra interdire (ce qui serait un contre-sens démocratique je pense).
Voilà pour les précisions !