…Mais il parait qu’c’est pas sympa de pas se présenter, et j’suis plutôt sympa. Enfin j’crois. En tout cas j’essaie.
Lorelei sur la toile, je vis au pays de la préhistoire, et je vous jure que c’est pas qu’une façon de parler, là où j’habite, c’est un bon mix entre préhistoire et féodalité.
J’aime l’éduc pop, l’idée que chacun·e est capable a priori, qu’on a tou·te·s à apprendre les un·e·s des autres. J’aime le partage des connaissances, les discussions animées, j’me dis qu’on n’a pas le droit d’être d’accord mais qu’on a quand même le devoir de s’écouter. Et mon leitmotiv du moment, c’est « entrons dans l’âge de faire », je suis fatiguée des grands discours.
J’aime scribouiller, râler, les concerts, perdre du temps à essayer de comprendre des trucs que j’comprendrai jamais et la bière artisanale.
Voilà ce qui me vient là tout de suite maintenant.
En ce moment plutôt schtroumphette grognonne !
Cela dit, il m’arrive aussi d’être un jour de fête. Enfin j’crois. Enfin… ça dépend des trains qui déraillent en fait !
Non du genre féminin, d’ailleurs j’ai relu ton post, tu as écrit fatiguéE donc en étant plus attentif je n’aurai pas eu de doute. Pour ma part ça remonte début des années 80, j’avais même pas 20 ans
En 84 mes 20 ans. Qui doit le respect à l’autre?
j’ai la chance de ne pas être très loin de Dole (sa vile de naissance) et Dijon, j’ai pu le voir plusieurs fois en concert pas trop loin de chez moi.
Boarf ! Le respect j’crois pas que ce soit une histoire d’âge. J’connais pas mal d’ancêtres qui ne méritent que du mépris. M’enfin laissons les cons où ils sont.
J’ai eu la chance aussi de voir plusieurs concerts, mais toujours trop grands trop de monde et peu conviviaux (enfin ça, c’est p’t-être aussi parce que j’aime pas trop les gens)
Oui, c’est une expression, je préfère garder mon mépris comme disait Châteaubriand (qui l’était, brillant) “il faut être. avare de son mépris à cause du grand nombre de nécessiteux”.
j’aime pas trop non plus les très grandes salles de concerts, Mais ça peut être un moyen de combattre ou d’entretenir sa misanthropie.