Bonjour à tous!
J’essaie ici de développer un point de vue peut commun sur le droit à l’éducation, qui pourrait en perturbé plus d’un, donc accroché vous!
Alors déjà, qu’est-ce que c’est qu’un « droit », ou une « liberté », pour bien comprendre mon usage de ce terme je recommande cette vidéo de Monsieur Phi:
Sinon on peut résumer la définition rapidement : Je suis libre temps quand je ne suis ni interdit ni obligé et j’ai le droit quand en plus on me protège dans l’exercice d’une liberté.
Prenons un exemple, Mark est allergique au pollen, et souhaite acheter du pain, rien dans la loie ne lui interdit d’aucune façon d’aller en acheter, en revanche, dans une logique de « promotion du pollen », les autorités locales balance du pollen sur les gens qui vont acheter du pain, Mark n’a pas le droit d’acheter du pain.
Cependant il faut tout de suite préciser que cette logique ne s’applique pas si l’allergie de Mark concernait quelque-chose d’inhérent au pain, par exemple, si Mark était allergique au gluten.
Malheureusement, cette petite histoire dystopique est bien plus proche de la réalité qu’on pourrait le croire. En effet, il existe des gens « allergiques » à bon nombre de pratiques que l’on retrouve dans l’éducation, comme par exemple, les évaluations. Certains sont mis en échec scolaire à cause des évaluations. Ce n’est évidemment pas la seul cause de phobie scolaire mais il serait très long de développer.
La question que l’on pourrait maintenant se poser est : Les évaluations sont-elles inhérentes à l’éducation ? Et la réponse est évidemment NON. Des éducations sans évaluations sont non-seulement possible mais on déjà exister et existe toujours, comme dans les écoles anarchistes.
Les évaluations, en ceci qu’elles interdisent l’accès à l’apprentissage à une partie de la population (dure à estimer mais le nombre de phobie scolaire, qui n’est pas que due aux évaluations, je le répète, est entre 3 % et 5 % selon franceinfo) doivent donc être abolies.
Voilà, n’hésitez pas à donner votre avis sur le sujet (c’est le but de l’espace tout de même).