Bonsoir les Pirates,
Je pose ça là pour éviter que ça disparaisse de mon tampon, notamment parce que c’est déjà bien étayer.
Le premier point tournerait autour de l’obligation de mettre sous séquestre avec une obligation de moyen les codes sources des serveurs utilisés pour les services distants pour qu’à la fin de vie du produit (par abandon ou mort de la société détentrice des droits) ce dernier, et dans la dernière version soit ouvert permettant la continuité de service par la communauté. C’est d’ailleurs un point qui a été débattu notamment avec Paula Forteza, qui elle-même a porté cette idée au parlement. Cela couvre plusieurs aspects :
- Une certain fin de l’obsolescence programmée logicielle « c’est ballot on arrête de maintenir le serveur »
- Une continuité de service
Le deuxième point tournerait autour de l’obligation de mettre à disposition des consommateurs qui le souhaite une version installable des services distants (même en closed source - secret des affaires toussa toussa), surtout quand le fournisseur de service met en avant des arguments comme « intelligence artificielle » et al.. En effet, si le service n’a pas besoin d’action humaine, le fournisseur de service n’a pas BESOIN de faire transiter les flux par son service, il n’a juste qu’à mettre son IA au service du client. L’intérêt de cette proposition vient d’une discussion avec un lanceur d’alerte qui a pu travaillé avec Apple sur Siri. On parle ici du traitement de données vocales. Au final soit le fournisseur de service est confiant, et il peut mettre à disposition le service localement tout en n’assurant pas la capacité à répondre avec la même puissance de calcul, soit il ment sur son service et alors la différence de service sera flagrante et il sera possible de poursuivre sur la base de la tromperie (voire de l’utilisation abusive des données personnelles). De fait on parle ici de :
- réappropriation des données personnelles
- mise en balance de la qualité des services