Serais tu misarchiste ?
https://editionsdudetour.com/index.php/les-livres/voyage-en-misarchie/
c’est possible ahah ! je ne sais pas trop (je n’y prete pas grande attention ahahah).
faudrait me faire un résumé du bouquin 
sur le programme municipal ? ou sur le programme de manière générale ?
à échelle locale, l’immigration n’est à mon sens que de la gestion de flux, d’infrastructures, et parfois de crises.
On peut se positionner en fonction des localités visées avec pour ligne commune : c’est notre politique extérieure nationale dont nous vivons les conséquences aujourd’hui. Soyons le meilleur palliatif au manque de changement national, du mieux que nous le pouvons.
Et ainsi s’adapter aux moyens locaux.
Je réveille ce topic pour nourrir un peu la réflexion avec cette note du collectif « Nos services publics » sur l’impact concret de la loi immigration votée en 2023 : Préférence nationale
À voir bien sûr ce que le conseil constitutionnel va dire mais le texte voté aura un effet délétère sur la vie de nombreuses personnes vivant en France. Difficile d’y voir autre chose qu’une loi xénophobe pour précariser encore plus des gens en situation difficile.
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J’emploirai plus le terme « charité » que « solidarité ».
Effectivement cela peut faire l’objet d’une motion. @EquipageETEF Qu’en pensez-vous ?
Après avoir lu la note, je suis conforté encore une fois dans l’idée qu’il est indispensable de changer de perspective concernant le regard politique porté sur l’immigration (en s’éloignant de l’idéologie. Ouai je sais qu’on en demande déjà trop).
Et concevoir ce thème au travers de l’insertion + que de l’intégration
Sur le plan pratique, on occulte encoure le fait que les moyens dont disposent les travailleurs sociaux dans les CADA, CPH, CAES sont insuffisants pour lutter de façon satisfaisantes contre l’exclusion de ses personnes.
Disions les choses, si vous arrivez en France et que vous ne connaissez personnes et n’avez aucun point de chutes, c’est une carrière de sans-abris marginalisé et en errance qui vous attend.
C’est exactement l’argument des politiques qui veulent pas passer pour des fachos : « on veut accueillir moins mais mieux ». Je n’ai pas d’avis sur le sujet. Est-ce qu’on est en phase avec ça ? Est-ce qu’on tendrait plutôt vers une politique « open-bar » ? Ou bien plus sélective, du genre on soumet les demandes en Assemblée Permanente et on les vote une par une au jugement majoritaire ? Je caricature volontairement pour essayer de faire ressortir des tendances sans qu’on se focalise sur des points techniques.