Donc tu m’opposes un concept qui n’existe pas encore pour justifier ton opposition à mon opposition. Intéressant.
Même si je pense que la deuxième partie de la phrase ne m’était pas destinée, je précise que je n’ai pas l’intention de rejoindre l’équipage agriculture, j’ai déjà assez d’engagement au sein du PP et c’est un sujet que je ne maitrise pas assez pour m’en préoccuper à ce niveau là, malgré cela je conserve le droit de m’exprimer il me semble, et d’en débattre, d’autant plus lorsque la question est posée à l’AP.
Là aussi, c’est le cas pour à peu près tout le reste dans le programme, et ça le sera tant qu’on votera des trucs sans en débattre. Si le problème est le manque de sources, alors ajoutez des sources.
Si le problème est l’obsolescence, alors je vous prie de m’indiquer la loi qui indique que ce dispositif est déjà en cours de développement (mais cette raison invoqué ici n’était pas dans l’exposé des motifs initial), et si le problème est que le programme est disparate, alors autant arrêter tout de suite de voter des trucs un par un sur des sujets différents et reprendre le programme dans son entièreté, parce que sans ça, tout le programme est disparate.
Non, là il est indiqué, sauf si j’ai mal compris, que ce point qui sera abrogé sera réintégré plus tard dans une autre partie du programme, ça veut dire qu’il n’est pas si obsolète, pas si ridicule, et pas si inutile que ça finalement.
Moi ça me va, qu’on le remette plus tard, pourquoi pas, mais je m’interroge quand même, quelle est l’urgence ? Pourquoi vouloir à tout prix supprimer ce point aujourd’hui ? Pourquoi ne peut-on pas le garder ?
(Et pourquoi j’ai la drôle d’impression que personne ne répond à mes questions et que vous cherchez surtout à me convaincre que j’ai tort et vous raison ?)
Cela dit, je vais poser ici le point de programme en question, voté en 2017, et je vous invite à me dire ce qui pose problème exactement.
Mettre en place des projets expérimentaux de ‘grappes de fermes’ pour expérimenter, former, et développer de nouveaux modèles alimentaires territoriaux.
Nous pensons que la coopération et la mutualisation sont des dynamiques très positives et résilientes, à même d’envisager des écosystèmes de grande ampleur.
Pour augmenter l’efficacité économique et énergétique de nos systèmes de production, il convient de les relocaliser et d’étendre les champs d’activité : production, mais aussi transformation et distribution, en version locale et à taille humaine. Pour ce faire, un « attaché-coopérateur », qui serait un catalyseur de projets de territoires : véritable entrepreneur qui reliera l’amont et l’aval de la filière, imaginera des dynamiques innovantes pour répondre au besoin sans cesse croissant de produits bio et locaux, tout en fédérant les parties prenantes (producteurs, consommateurs, distributeurs, transformateurs, financeurs, experts techniques, chercheurs, citoyens…)
Un « attaché-coopérateur » aura pour objectif ultime d’accompagner une grappe de fermes fonctionnant comme un écosystème, intégrant les différentes sortes de production (maraîchage, grandes cultures, élevage, toutes interdépendantes et bénéficiant les unes des autres) et en y ajoutant des activités connexes renforçant le modèle économique (transformation et distribution, bien sûr, mais aussi accueil de public, formations, organisation d’événements, etc.)
Pour valider la pertinence de ce modèle territorial, afin de l’essaimer, nous préconisons la création d’une à trois grappes de fermes par région.
Et donc @Bibo, l’exposé des motifs indique clairement, sauf incompréhension de ma part et dans ce cas ce serait bien de tourner ça autrement, que ce point de programme est soluble dans le point agriculture et numérique et que ce dernier point fera l’objet d’un travail prochainement, il n’est nulle part indiqué que ce point est en doublon avec quoi que ce soit, mais si c’est le cas je veux bien qu’on m’indique quel est le doublon…
Je rappelle l’exposé des motifs complet (le contexte en gros) 