Etant membre de l’IRIT, j’ai reçu une info concernant une conférence sur le thème de la démocratie liquide, j’ai pensé que ça pourrait intéresser par ici Tout est consultable par là : https://www.irit.fr/scone/events/workshop-on-liquid-democracy/. Les inscriptions sont ouvertes. Le pré-requis majeur étant la maîtrise de l’anglais, a minima une bonne compréhension orale ^^
C’est donc sous un aspect scientifiquement étayé que la question de la demliq sera ici abordée Ce sont notamment les problématiques de ou des implémentations(s) qui seront discutées ainsi que celles des aspects techniques/technologiques.
Pour info, l’IRIT est l’Institut de Recherche en Informatique de Toulouse. Le site IRIT-UTC (Université Toulouse 1 Capitole) quant à lui se positionne au sein d’une université dont les spécialités sont les sciences sociales. On est donc ici à l’intersection entre socio/éco/politique et technologie/informatique.
Si vous êtes intéressés, n’oubliez pas de vous inscrire en suivant le lien plus haut, cela se passera en visio le 26 mars de 10h à 16h
C’était, de mon point de vue, une super journée conférence sur le sujet. Très sympathique, très.
Avec Florie, on a titillé un peu les chercheurs que ce soit sur du vocabulaire, mais aussi sur quelques hypothèses de travail. Et ça a “mal fini”. Durant la pause déjeuner, nous avons été contacté par l’organisation pour savoir si on pouvait … faire une présentation de la démocratie liquide de Congressus. Grisant et effrayant.
Ça s’est très bien passé, avec énormément de questions très intéressantes, et normalement il devrait y avoir des vidéos disponibles de la journée.
Comme j’ai dit à Florie, ça me fait très plaisir que ça ait trouvé sa place ici ^^ toutes les équipes de l’IRIT que je côtoie sont finalement assez demandeuses de contextes applicatifs et de « la vraie vie ». Ça a effectivement un côté satisfaisant de voir une implémentation d’un truc plutôt théorique sur lequel on passe du temps ^^
J’avais un peu peur que la barrière recherche/politique ou recherche/société ne soit que trop présente encore et toujours si imperméable (question de… politique !) Finalement faut croire que non et ça c’est cool. Et c’est doublement bénéfique au sens où , je pense, la communauté scientifique peut savoir se faire entendre, encore plus si elle a des cas très appliqués à présenter la faisant gagner en crédibilité et en accessibilité.